Rise of the New Wonder Girl and the yet to be Blue Beetle.

J’étais sur le point de démanteler enfin le raison de drogue, ce fameux réseau qui me tenait tant tête, et sur lequel je luter depuis quelques temps. Les leaders commençaient à tomber un à un, c’était pourquoi la fragilité de cette organisation commençait à montrer ses failles, et ce n’était pas pour me déplaire, bien au contraire, j’en souriais même. J’avais poursuivit l’un des influent du groupe jusqu’à le retrouver dans une rue. J’étais déjà équipé, les gens pouvaient m’apercevoir, mais rien à faire, c’était plus important, il fallait continuer de taper dans la fourmilière, tout allait s’effondrer au bout d’un moment. Lorsque je retrouvais l’homme en question, je volais jusque lui, et l’attrapais en vol, laissant sa voiture aller taper un poteau pour la stopper net. Il n’y avait personne dans la trajectoire, fort heureusement pour moi. Je le tenais à présent dans les airs, à un bon 4 mètres de haut, je l’entendais hurler de frayeur. J’entendais aussi les gens autour, mais je n’avais pas le temps pour leur faire comprendre. « tu camino se detiene aqui, amigo » Il continuait d’hurler à plein poumon. Vraiment, il ne manquait plus qu’il se mette à pleurer et le ce serait le comble. Je me rapprochais du sol, puis je le jetais sur un distributeur de journaux, pour adoucir sa chute, mais pas trop non plus, il le méritait. Lorsque je transformais mon bras en canon et que je le pointais pour le neutraliser, une voix attirait mon regard, je tournais la tête et j’apercevais une blonde arriver à toute allure et me rentrer dedans. Le choc me faisais valser sur le mur plus loin, mais je parvenais à me remettre droit sur mes jambes. Je m’envolais de quelques mètres pour et la pointais avec mon canon. Avant de l’examiner et de me rendre compte que ce n’étais pas une inconnue, loin de là, c’était une vieille connaissance, Cassandra Sandsmark, une jeune fille qui avait rejoint l’école où je me trouvais il y avait quelques temps. Et qui avait tentait de se prendre pour Wonder Woman, Que faisait-elle ici ? Et surtout, que comptait-elle faire maintenant ? Elle n’avait quand même pas changer de camp ? Pourquoi m’attaquer dans ce cas ? Je ne le savais pas, mais je me doutais que j’allais recevoir la réponse plus tôt que prévu.

La jeune femme me chargeais, je sentais les coups, mais j’arrivais à m’envoler juste avant la catastrophe, j’étais au dessus d’elle. Le scarabée avait déjà prévu les armes, il me disait par la pensée de riposter, d’utiliser l’armement lourd, mais je ne pouvais pas. Pas contre Cassie. Je contentais juste d’esquiver, de ne pas riposter au point de créer un conflit avec lui. Hop, un saut à gauche, un à droite, c’était tantôt simple, tantôt compliqué, mais j’y parvenait plutôt bien. Jusqu’à ce qu’elle décroche un parcmètre pour me lancer en pleine face. Je lâchais discrètement un ‘VRAIMENT’. Je mettais mes deux bras comme barrage pour m’empêcher de le prendre en pleine figure, pour me protéger du choc. Ce qui faisait plutôt bien effet, mais en revanche, je ne voyais pas la blonde foncer et m’attraper. Dans une chute plus qu’acharnée, je me rétamais au sol, le scarabée tapant le sol en premier, je le sentais mal au point, nous avions du mal à communiquer. Puis, une barre de fer gelé stopper ma débandade. j’heurtais de plein fouet, et je le sentais plus bien. La chute avait dû endommager ma protection. Je sentais mon corps qui commençait à ne plus trop en pouvoir, qui demandait d’arrêter.

Mais je n’avais pas le temps de réaliser que Wonder Girl revenait à la charge, se mettant au dessus, le bras tendu vers moi. Elle marmonnait quelque chose d’incompréhensible avant de me mettre un coup dans la figure. Aoutch, je le sentais de plein fouet, comme un mur que je venais de prendre dans les dents. J’étais déjà pas frais, mais après celui là. C’était encore pire. Un deuxième coup venait complètement achever mes quelques pensées encore claires. Tout tournait. Tout devenait rouge aussi, sûrement un second effet de prendre des mandales, me disais-je. Une troisième faisait perdre le peu d’énergie qui me restait. Me bras tombait de chaque côté. Et ne bougeais plus. Seul mon visage était encore semi fonctionnelle. Alors qu’avec tout le courage qu’il me restait, je levais faiblement le bras pour tenter de contrer le prochain coup, je ne me faisais pas d’illusion, il n’allait clairement pas stopper, mais c’était mieux. Quand le coup n’arrivait pas. J’avais l’impression qu’elle était paralyser. Pourquoi s’arrêter. Elle avait l’air de dire une nouvelle fois quelque chose, incompréhensible. Mais je parvenais à capter quelques mots. Je la regardais avant de porter doucement ma main sur mon visage. Un bout du masque n’y était plus. C’était sûrement la raison pour laquelle elle avait arrêté de frapper. Quand je posait ma main sur mon oreille, une terrible douleur venait. Je grognais en voyant qu’un liquide gluant rouge y coulait. Avant de m’étrangler avec ce même liquide, je crachais sur le côté ce qui semblait être du sang. Tout accélérerait. La terre semblait tourner encore plus vite que d’habitude. Je lui disais avec tout le mal du monde que c’était pas grave, elle pouvait pas savoir. C’était pas sa faute. Mais mes derniers mots se perdait dans un étranglement. Ma tête, si lourde venait heurter la barre. Me bras ne bougeais plus, tout comme mes jambes. Un dernier étranglement était la dernière chose dont je me souvenait. Avant que ce soit le noir complet. Que les ténèbres venaient m’envahir. C’était donc comme ça que Blue Beetle finissait ? C’était donc comme ça que la mort venait nous accueillir ?  

Remise à zéro, réhabilitation.

Menace-menace-menace

Comme un coup de jus, il se relevait sur en position assise, fixant la demoiselle dans le coin de la pièce. Il l’analysait juste. Force supérieur, aptitude surhumain. Il la jaugeait même. Il tournait un peu la tête sans pour autant perdre le contact avec elle. Allait-elle riposter ? Non, son cœur s’emballe trop, sa respiration est saccadé, elle est en choc. Bien, elle ne sera donc pas un problème. L’hôte ? Oui, l’hôte. État critique, mais toujours fonctionnel. Armure fracturé, mais facilement réplicable. Ailes opérationnelles ? Oui, elles le sont. Analyse de l’endroit. Échappatoire à travers le mur de droite. Mur moins dense que les autres. Plus facile à percer. Point faible situé à un mètre trente trois de hauteur. Canon à impulsion semi actif. Capacité d’un tir . Un tir suffira. Pas d’autre signe de vie détecté. Lancement de la fuite.



Le mexicain pointait donc son bras vers Cassie, une arme ionique en sortait. Elle n’avait pas le temps de comprendre ce qui allait se passer qu’elle prenait un tir bleuté vers elle. Qui la touchait de plein fouet. Le tir était un tri incapacitant. Il avait pour but de la bloquer quelques temps. Suivit de quoi, deux ailes poussaient dans le dos de Blue Beetle tout en bondissant vers le mur à son Est. Un petit bout d’armure se formait pour faire obstacle au choc. Et le mur volait en éclat. Il prenait donc son envol et ce, pendant quelques minutes. Il rejoignait une forêt non loin, et allait se poser dans une petite grotte qui s’était formé avec les racines de l’arbre géant du dessus. Une fois dedans, il se laissait tomber, pour reprendre la partie de rétablissement de son hôte, qui, nécessitait toute son attention.



Je clignais des yeux, cela semblait être le matin, je tirais mes deux bras avec un bâillements, mais lorsque je voulais tirer sur ma couverture, je ne la trouvais plus. Un flash des éventements récents me revenait. Cassie me frappant le visage. Instinctivement, je portais ma main au visage, presque plus rien. Le scarabée devait être sur le coup. Avec un peu de mal, j’arrivais à me mettre debout. J’inspectais mon corps, j’avais pas mal de blessure, mais rien d’irréparable. Sauf peut-être l’oreille. Je jetais un coup d’œil autour, que fais-je ici ? Je manquais de prendre une racine dans la figure lorsque j’avançais pour trouver la sortie, lorsqu’une voix familière retentissait. Cassie. Elle entrait dans la grotte, je me plaquais au fond, et tendais mon bras où se trouvait mon arme encore active. « Qu’est-ce que tu me veux » lui lançais-je.   

Étant toujours encore troublé de ce qui se passait, je n’arrivais pas à savoir quoi penser. D’un côté je savais que Cassie n’était pas méchante, que c’était qu’un mauvais concours de circonstances. Qu’elle n’aurait jamais fait ça de son plein gré. Mais de l’autre, le scarabée essayait de me convaincre qu’elle était une menace, que venait finir le boulot. Qu’il fallait l’éliminer avant qu’elle le fasse elle-même. Lorsque le flash ne me pointait plus, j’entendais sa voix. La voix que je connaissais. Un instant de clarté venait, et je me rendais compte que je la pointais. Je baissais instantanément et ajoutais. « Cassie ? Mais qu’est-ce que je fais là ? Et pourquoi j’suis à poil ? C’est quoi ce délire ? » Je m’approchais d’elle pour prendre les vêtements mais je voyais qu’elle était complètement troublé. Je le sentais même, le scarabée l’avait scanné. Il voyait qu’elle paniquait. Tout me revenait. Les moments où je prenais des coups dans la figure. Instinctivement, je faisais un pas en arrière. Et pendant que je m’habillais, je lui posais une question, question que je pensais et que j’étais sûr d’avoir la réponse. « C’était pas fait exprès ? ¿no es cierto? » Toujours confus, je parlais à haute voix au lieu de le faire en pensant. « Tu vois qu’elle est pas une menace ‘disais-je en tournant dans la cave’ Non, pas de canon à décharge mortelle, je viens de te dire que c’était un accident. MAIS SI QUE C’EN ETAIT UN, GILIPOLLAS . Oh et puis, c’est moi qui dirige alors cierra la. » Je me retournais vers elle, ayant l’impression d’avoir parlé dans ma tête, tout me semblait parfaitement normal. J’avais fini de tout mettre, et malgré cette impression étrange, je passais à ses côtés pour sortir de la caverne. Nous étions en pleine forêt. « On est où là en fait ?  Parce que j’ai aucune idée d’où se trouve El Paso, il me fait la tronche et ne veut pas m’aider... » En effet, le scarabée ne communiquait plus. Il devait sûrement faire sa petite crise, et bien qu’il l’a fasse. C’était trop tôt pour parler de ce qu’il s’était passé. Story for another time. Je la suivais donc pour retourner à El Paso, dans un silence pour le moins dérangeant. Une fois rentré à la ville, je lui expliquais que j’irais la voir plus tard, il me fallait un peu de temps seul pour régler le problème avec le scarabée, mais aussi pour guérir. C’était ainsi que je rentrais chez moi. Moi qui pensais qu’aujourd’hui allait être une journée calme et paisible...