An other speedster ? (ft. Barry Allen et Jesse Chambers)

Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.



Plusieurs mois étaient passés depuis notre troisième rendez-vous et nous étions désormais en couple. Nous vivions un amour pur et sincère et j’aimais tellement ce sentiment, ce ressenti. C’était le bonheur absolu. On passait énormément de notre temps libre ensemble même si nos jobs civils ou de super héros nous prenait beaucoup de temps mais en quelques minutes, je pouvais la retrouver n’importe où.

Ce matin et comme chaque matin en fait quand elle était à l’appart, je préparais un bon petit déjeuner, tout ce qu’elle aimait. Et c’est en chantonnant bien sûr que je le préparais. Je devais être chanteur dans une vie antérieure, ce n’est pas possible. Je fis un bon quand je la sentis me serrer contre elle, sa poitrine sur mon dos. Elle s’était rendue invisible grâce à son totem. Mine de rien, il avait des avantages son médaillon. Un sourire s’afficha sur mon visage à ses mots « Barry Allen, tu es un homme parfait... tu le sais ça ? Tu me donnes trop faim... »

- Hummm … oui je le sais et tu sais quoi ? Je suis ton homme parfait rien qu’à toi , dis-je quand elle se rendit visible.  Je me retourne et l’embrasse tendrement.

On déjeune tout en se taquinant et rigolant. On formait vraiment un beau couple et qui aurait cru il y a quelques mois qu’on serait ensemble. Après le petit déjeuner et une bonne douche, on s’en alla se balader dans Central City main dans la main. On passa sur la route au CC Jitters prendre quelques petites choses à grignoter et deux cafés. Alors que nous étions dans le parc, Mari s’arrêta de marcher. Je me tourne vers elle et lui demande ce qu’il y a. Je la vois humer l’air avant qu’elle ne me regarde et me dise qu’elle a senti une odeur similaire à la mienne mais féminine et qu’elle avait senti une qui y ressemblait quand nous étions chez Alvaro. Elle me demande alors s’il y a d’autres speedster et regarde dans une direction précise. Elle ajoute alors qu’elle arrive.

- A part Wally et Reverse Flash, je n’en connais pas d’autres. Allons alors voir qui est cette mystérieuse inconnue , annonçais-je en appuyant sur ma bague. Mon costume en sortit et je l’enfilais en super vitesse. Allons-y mon amour.

Je me mis alors à courir tandis que je vis Mari invoquer l'esprit du guépard et courir derrière moi pour voir la mystérieuse inconnue. Arrivé face à elle, je la stoppai dans sa course. Devant moi se tenait une femme dans un costume similaire au miens. Mari arriva à mes côtés. Je regardai de haut en bas l’inconnue. Je ne la connaissais pas et je ne savais même pas qu’il y avait d’autres supersoniques à part moi, Wally et Reverse Flash.

- Bien, je me présente, je suis Flash ! Et tu es ? lui demandais-je en la soutenant du regard.

Codage par Libella sur Graphiorum

Je m’appelle Jesse Chambers et je suis la femme la plus rapide du monde. Depuis toute petite je vis dans un monde de super héros, mon père étant Johnny Quick, et ma mère Liberty Belle. Mon père m’a donné sa formule pour me liée à la Speedforce, mais cela a pu sceller mon destin, comme ça a scellé celui de mon père. Aux yeux du monde, je ne suis que la PDG d’un groupe pharmaceutique racheté par ma mère mais j’ai un secret, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Jesse Quick.



Précédemment dans Jesse Quick. … A vous vous dites que je n’étais pas là dans le premier rp de Jesse, c’est vrai, mais je viens d’être embauché comme narrateur omniscient de sa vie. Je peux même savoir son futur et un peu le futur de son entourage, mais je n’ai pas encore tout lu. De toute façon, nous nous intéressons à son passé. Après la rencontre entre la bolide féminin et le scarabée bleu, Jesse décida de s’intéresser de plus près au bolide écarlate, j’ai nommé Flash. Décident de toujours ignoré les coups de téléphone incessant de sa mère, elle commença son enquête sur l’identité secrète du justicier célèbre pour sa vitesse. En vain malheureusement, alors elle comprit rapidement que la seule solution d’attirer le speedster c’était de se rendre dans sa ville et de courir.  Plan simple mais qui allait s’avérer efficace. Ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’elle allait rencontrer Vixen et que tous les trois allaient devenir de grands amis. Enfin, je vous laisse découvrir tout ça.


J’étais dans mon laboratoire secret, enfin plus qu’un laboratoire c’était aussi ma base secrète. C’est là que j'entrepose mon costume et celui de mon père. Oui, je n’ai pas pu m’en séparer, il reste là, comme un rappel à mon échec, à ma fuite. Je n’arrête pas de me dire que si j’avais pu, je l’aurai sauvé. J’ai préféré faire le tour du monde à la place. Je caresse son costume du bout des doigts puis j’enfile le miens à grande vitesse avant de me mettre à courir, courir aussi vite que je le peux. J’ai envie de disparaître l’espace d’un instant, ou de ne jamais arrêté de courir. J’aimerai être libre, libéré du fardeau qui pèse sur mes épaules. Pour l’instant je n’ai pas vraiment beaucoup de solution, je suis dans une impasse et j’ai besoin d’un speedster qui est naturellement rapide … enfin j’espère qu’il ait naturellement lié à la speedforce, car si ça se trouve, il est lui aussi condamné. J’arrive à Central City et peu de temps après mon arrivé je me fais arrêter par Flash en personne accompagné de … on dirait Vixen ! Je me demande ce qu’elle fait si loin de Détroit. Flash me demande qui je suis, mais sa tournure de phrase me fais sourire.

- A ta recherche, mais je pense que je t’ai trouvé Flash … ou plutôt tu m’as trouvé ! Je garde mon sourire.

Bon d’accord, j’aurai pu simplement me présenter, mais c’était moins drôle et un peu moins intriguant. Je voulais attirer son attention, néanmoins, je ne peux pas négliger la présence de Vixen à ses côtés. Ce qui fait que des questions me traverse l’esprit à propos de ces deux là, mais je préfère ne pas ça en compte pour le moment. De plus, le lieu n’est pas vraiment privé et je préfèrerai parler dans un endroit plus intime. Je vérifie rapidement que personne ne nous regarde et je retire mon masque.

- Je m’appelle Jesse Chambers, mais mon nom de justicière est Jesse Quick et j’ai besoin de ton aide Flash, je crois bien qu’en me liant à la speedforce je me suis aussi condamnée à mort., déclarais-je.

Bon, comme entrée dramatique, je ne suis pas sûr de pouvoir faire mieux. J’espère sincèrement qu’ils vont me croire et bien vouloir m’aider.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




A ma recherche ? Pourquoi elle est à ma recherche ? Je la regarde d’un air interrogatif en arquant un sourcil derrière mon masque. Pouvais-je lui faire confiance ? Il était trop tôt pour le dire pour le moment. Elle a le sens de l’humour dis donc. Moi qui pensais être le seul bolide avec de l’humour, je me suis trompé. Elle nous regarde et surtout son regard s’attarde sur Mari. Pourquoi elle la regarde comme ça ? C’est alors qu’elle se présente et regardant autour de nous, elle retire son masque. Elle se nomme Jesse Chambers et elle est Jesse Quick. Chambers, ce nom me disait quelque chose. Aurait-elle un rapport avec la filiale pharmaceutique de la compagnie Chambers. Il y avait de grandes chances. Je lui demanderai plus tard. Hum… Pas compliqué son nom mais un peu trop semblable à son vrai nom. Passons. Elle ajoute qu’elle a besoin de mon aide. En se liant à la speedforce, elle s’est condamnée à mort. Je ne comprenais pas quand je sentis la main de Mari dans le bas de mon dos avant qu’elle ne me dise que je devrais peut-être la lâcher et qu’elle ne va pas s’en aller vu qu’elle m’a demandé mon aide. Je ne m’étais pas rendu compte que je la tenais encore et je la lâchais.

Elle n’avait pas tort, on devrait bouger de là et aller chez moi enfin même si cette idée qu’elle entre chez moi ne me plaisait pas de trop. Après tout, je ne la connais pas mais regardant Mari dans les yeux, j’acquiesça de la tête. Mari entre temps se présenta, révélant son identité civile. Elle lui souhaita la bienvenue à Central City et demanda si on y allait maintenant. Impatiente mon amour d’en savoir plus sur cette histoire ? Elle n’était pas la seule à vrai dire. Je me retourne vers Jesse et lui dis de nous suivre. Je prends alors Mari dans mes bras et me mets à courir en super vitesse. Jesse me suit derrière, je ne vais pas non plus trop vite pour pas que Mari soit trop décoiffé et pour que Jesse puisse suivre. On laisse une trainée d’éclairs orangées derrière nous et nous arrivons rapidement chez moi. Une fois à l’appartement, je demandais alors à Jesse de tout nous expliquer. Mais avant, je devais lui demander de promettre de garder mon identité secrète. Après tout, Mari et Jesse avait échangé leur identité et ça serait plus simple surtout si nous devions dans le futur collaboré. Appuyant sur l’emblème de mon costume, celui-ci se dématérialisa dans ma bague.

- Tu t’es présenté tout à l’heure, il est temps pour moi de faire la même chose mais je te demande de bien garder mon identité secrète. Je m’appelle Barry Allen et nous t’écoutons. Dis-nous tout, annonçais-je en m’asseyant sur mon canapé aux côtés de Mari.

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Je m’appelle Jesse Chambers et je suis la femme la plus rapide du monde. Depuis toute petite je vis dans un monde de super héros, mon père étant Johnny Quick, et ma mère Liberty Belle. Mon père m’a donné sa formule pour me liée à la Speedforce, mais cela a pu sceller mon destin, comme ça a scellé celui de mon père. Aux yeux du monde, je ne suis que la PDG d’un groupe pharmaceutique racheté par ma mère mais j’ai un secret, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Jesse Quick.



Je regarde les deux personnes qui sont devant moi, ce n’est pas dur de deviner que ces deux là sont en couple. Déjà, le regard de Mari quand elle a vu que Flash avait ses mains sur mes épaules voulaient en dire beaucoup, de plus, la main sur son dos était aussi très évocateur. Après, je ne suis pas une experte en psychologie et je pourrais me tromper, mais je vais partir du principe que cette hypothèse est vraie. Bon ils avaient l’air de me prendre au sérieux au moins, après tout, j’aurai pu juste être une folle qui avait sortie une phrase dramatique pour avoir un peu d’attention. Néanmoins, je pense que le problème est assez important pour que ça soit pris au sérieux. Vixen dit à Flash que ce serait mieux qu’on aille chez lui. C’est vrai qu’être en public me gène un peu. Je ne suis pas encore assez connue pour révéler mon identité. Je met mon masque à nouveau. Ils étaient gentils et je savais que je pouvais leur faire confiance, bien que je sais que j’allais devoir faire des efforts pour que la confiance vienne dans le second sens. Je me met donc à courir à leur suite pour arriver dans l’appartement civil de Flash. J’avoue que je m’attendais presque à que l’homme le plus rapide au monde est un repère top secret et non pas qu’un appartement comme point de sortie. Après, je ne suis pas une experte, mais mes parents ont toujours eu leur repère. Je resta un moment bouche bée en voyant son costume disparaître dans sa bague. Il me fallait absolument la même chose. Je retire mon masque de nouveau, sachant que c’était inutile.

- Je garderai ton identité secrète. J’ai toujours jugé que chaque justicier était libre de garder leur anonymat. Merci de votre accueil, et merci de la confiance que vous me donner pour le moment. Je sais que vous restez méfiant, mais je pensais pas pouvoir avoir un contact aussi facilement. Bon, je fais ma fangirl tout de suite, j’adore ce que vous faites. Bon, j’essaye aussi de jouer les justicières, mais je débute et du coup je ne me suis pas encore fait de réputation médiatique. Je leur souris et m’installe sur le canapé. Bon pour comprendre tout ça, il faut que je commence par le début. Je suis la fille de Johnny Quick et Liberty Belle, deux super héros qui ont opéré en secret. Mon père fût le premier à synthétiser un sérum permettant aux élus de se lier à la speedforce. Le Velocity One. Il a amélioré la formule pour accroître sa vitesse chimiquement.

Désormais ça allait être plus compliqué pour moi, car ça va faire remonter des sentiments douloureux dont je n’ai pas forcément envie d’évoquer, mais je n’ai pas vraiment le choix. Mon problème s’est révélé lors de cet évènement tragique. Alors il faut que je leur dise tout, que je me mette à nue comme on dit.

- Bien que j’ai eu dès la naissance la super force de ma mère, mon père tenait à que je reprenne le relai en tant que bolide. C’est donc comme ça que je me suis injectée le Velocity One et que je me suis liées à la speedforce. J’étais plus compatible que lui, du coup, je fus dès le départ plus rapide. Pourtant, ce que je ne savais pas, c’était l’épée de damoclès qui se trouvait désormais au dessus de ma tête. Il y a quelque mois mon père est mort, dégénérescence accélérée de ses cellules dû au sérum. Je ne sais pas si ça vient de son dernier sérum ou si c’était déjà lié à la première formule. En tout cas, il est possible que plus j’utilise ma vitesse et plus je réduis mon temps de vie. , déclarais-je.

Voilà, je pense avoir tout dit, bien que je pense que ce soit compliqué.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Elle ne révèlerait pas mon identité m’annonça-t-elle. Tant mieux je dois dire. Je pense que je peux lui faire confiance et nous sommes prêt à entendre son histoire. Elle adore ce qu’on fait ? Nice ça. Elle débute donc, je comprends mieux pourquoi je ne connaissais pas son existence. La fille de Johnny Quick et Liberty Belle. Ces noms me disaient vaguement quelque chose. Synthétiser un sérum pour être lier à la force véloce. La Velocity one. C’est alors que je me rappelais d’une chose enfin plutôt d’un nom, Jay Garrick, mon professeur de chimie à l’université. Je me souviens qu’il avait créé une sorte de sérum ou disons plutôt qu’une de ses expériences a mal tourné et il a inhalé des vapeurs d’Eau lourde qui activèrent son méta gène qui lui donna ses pouvoirs. Bien que ce soit différent, il avait ensuite un lien avec la Force Véloce. Il était le premier « Flash » et opérait dans une ligue secrète similaire à la nôtre, la Société de Justice.

Elle nous expliqua ensuite qu’elle est née avec la force de sa mère mais que son père voulait qu’elle devienne une bolide et voulait qu’elle soit liée à la Speedforce. Mais en faisant cela, elle était entrain de mourir petit à petit surtout si elle utilise trop ses pouvoirs. Son père est mort à cause de ce sérum. Bien que tout cela était triste, je ne voyais pas ce que je pouvais faire. Mari nous écoutait et avait du mal à nous comprendre. C’est vrai que parler science n’est pas simple et comprendre encore moins. Posant sa main sur ma cuisse, je la vis se lever pour aller préparer du café. Je senti quand même un malaise quand elle se leva et je n’aimais pas cela. Je perdis mon sourire en la voyant partir dans la cuisine. Nous vivions un amour fusionnel et dès qu’elle n’était pas bien, je le ressentais. Je gardais un œil sur elle, même si elle était à quelques mètres de moi. Tout en écoutant Jesse, je regardais Mari qui avait l’air perdu dans ses pensées. C’est ainsi qu’elle fit tomber la carafe de la cafetière. En une fraction de seconde, ralentissant tout dans la pièce, je me levais et me dirigeai vers Mari, je rattrapais la carafe, la posai sur le plan de travail et lui déposai un baiser sur la joue. Je retournai vers Jesse mais restais debout.

Me déplaçant beaucoup plus vite qu’elle, je pense que même elle n’a pas eu le temps non plus de me voir me déplacer. Un de mes pouvoirs que j’ai découvert il y a quelques années c’est quand touchant une personne, elle peut entrer dans le Flash Time. Je vous expliquerai un jour ce que c’est mais en attendant retournons à notre sujet. Je n’aimais pas que Mari se sente mise de côté à cause de mes pouvoirs, c’est pour cela qu’il faudra que je lui montre le Flash Time et que je lui explique exactement ce qu’est la Speedforce et tout ce qui est liée à elle. Et je garderai toujours un œil sur elle où que je sois. Elle revint quelques minutes après avec les tasses de café. Je vis de la tristesse sur son visage, ce qui me rendis à mon tour triste. Après être retourné à ma place, Mari se rassis à mes côtés et tout en parlant à Jesse, je la vis se perdre dans ses pensées en regardant le liquide noir dans sa tasse. Posant ma main sur sa cuisse et la regardant dans les yeux quand celle-ci leva la tête suite à mon geste, je lui fis comprendre d’un simple regard qu’elle ne devait pas être triste et qu’elle devait rester. Je ne lis pas dans les pensées mais comme je vous l’ai dit plus haut, nous sommes fusionnels et je ressens tout ce qu’elle ressent. Je lui fis un sourire avant de répondre à Jesse.

- Bien bien, mais je ne comprends pas comment je peux t’aider contre ce sérum ? annonçais-je en prenant ma tasse et en buvant une gorgée. Mais je suppose que tu as déjà une solution si tu es venue me voir et me demander mon aide.

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Je m’appelle Jesse Chambers et je suis la femme la plus rapide du monde. Depuis toute petite je vis dans un monde de super héros, mon père étant Johnny Quick, et ma mère Liberty Belle. Mon père m’a donné sa formule pour me liée à la Speedforce, mais cela a pu sceller mon destin, comme ça a scellé celui de mon père. Aux yeux du monde, je ne suis que la PDG d’un groupe pharmaceutique racheté par ma mère mais j’ai un secret, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Jesse Quick.



Je pouvais sentir le malaise s’installer dans la maison. C’est vrai que Vixen ne sait rien à la speedforce et au côté scientifique de la chose. Je ne voulais pas créer un conflit entre les deux amoureux. Surtout que je trouvais ça trop mignon à quel point Barry veillait sur elle. Même si il m’écoutait, il ne pouvait pas s’empêcher de veiller sur Mari au point d’éviter la catastrophe en quelques secondes. Bon, je me devais faire un résumé simple à Mari pour qu’elle comprenne tout. Sinon, ça risquait d’être compliqué pour la suite de leur relation et ça évitera à Barry de donner un cours théorique. De plus, mes parents m’ont déjà parlé de son totem, ils avaient combattu avec une certaine Amaya Jiwe, possesseuse du totem mystique à l’époque. Ils m’avaient expliqué grossièrement son fonctionnement, bien que j’avais du mal à comprendre comment la magie pouvait exister. Mon côté scientifique qui faisait déjà des siennes, bien que mon père ne savait pas trop comment ça marchait aussi. Bon, je pourrais faire une comparaison simple.

-  Bon, avant que j’explique pourquoi j’ai besoin de toi. Je vais essayer d’expliquer à Mari. Je ne veux pas qu’elle se retrouve perdu. Puis, libre à toi de lui expliquer mieux, je vais faire la comparaison avec son totem magique. Si je me souviens bien sur ce que mes parents m’ont dit, le totem choisit son propriétaire. La speedforce c’est un peu pareil, seuls quelques élus peuvent y avoir accès, c’est ce qui nous donne notre vitesse. Pour la formule qu’à conçu mon père, c’est comme si on avait prit le totem et qu’on l’avait forcé à nous prêter ses pouvoirs. Le totem peut accepter plus ou moins selon la personne qui veut l’utiliser. Sauf qu’en contrepartie, à chaque fois qu’on l’utiliserai, on deviendrait de plus en plus primitif par exemple. Sauf que là, c’est qu’on vieillit plus vite à chaque utilisation. J’espère que c’est un peu plus clair.

Je me tourne alors vers Barry, parce que je sais que ma requête est un peu particulière et peut être qu’il ne va pas forcément accepté. Enfin, je ne sais pas, je ne le connais pas vraiment, mais il semble prêt à m’aider.

- J’aurai besoin de ton sang Barry, pour l’étudier. Afin de comprendre pourquoi l’effet de la speedforce ne t’affecte pas et grace à ça, je pourrais modifier la formule afin de stabiliser mes cellules et arrêter leur vieillissement. Je pourrais ainsi sauver les innocents sans me précipiter vers la mort. Je sais que donner son sang peut être délicat, même moi j’évite au maximum les piqûres, mais je n’ai pas trouvé d’autre solution. Je vous promet que je ne pratique pas le vaudou si ça peut vous rassurer.   , dis-je en rigolant un peu.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Jesse expliqua alors à Mari avec ses mots le speedforce en prenant exemple son totem. Je trouvais qu’elle savait beaucoup de choses sur nous et je dois bien l’avouer, je n’aimais pas trop cela. Comment elle savait autant de choses ? Devais-je vraiment lui faire confiance ? Il va me falloir un peu plus de temps je crois. J’ai déjà accordé ma confiance trop vite dans le passé et on m’a toujours déçu donc pour le coup, je vais faire preuve de sagesse. Je vis de la méfiance chez Mari et elle n’était pas la seule à cet instant. Jesse après lui avoir expliquer se tourna vers moi.

Mon sang ? Pour l’étudier. A vrai dire, je n’étais pas trop chaud pour lui donner mon sang. Après tout, ça ne fait même pas une heure que je la connais et je ne sais rien à propos d’elle à part qu’elle est Jesse Chambers alias Jesse Quick et que ses parents sont Johnny Quick et Liberty Belle. Elle semblait pourtant si sincère dans son discours. J’espérais bien qu’elle ne fasse pas de vaudou. Je ne savais pas vraiment quoi faire. Lui donner mon sang pour qu’elle l’étudie et qu’elle règle son problème ou ne pas lui donner et la laisser mourir à force qu’elle utilise ses pouvoirs. Un choix difficile et pas à prendre à la légère.

Demandant alors à Mari ce qu’elle en pense, celle-ci me répondit que c’était à moi de prendre la décision. Mais j’avais besoin de son avis, de son sentiment. Et puis honnêtement, je ne pouvais pas prendre cette décision comme ça, il fallait que je réfléchisse. Enfin je vais avoir le temps de réfléchir quand Gideon nous avertit qu’elle vient de détecter un pique d’énergie qui ne cesse de grandir dans le centre de la ville. Et proviendrait d’un méta-humain du nom de Neutron.  

- Je crois que ta demande va devoir attendre Jesse. Je vais devoir réfléchir avant de te donner ma réponse mais pour le moment, j’ai ma ville à sauver et cette nouvelle menace à arrêter , dis-je en me levant.

Appuyant sur ma bague, mon costume en sorti et je l’enfilais rapidement. Je leur dis alors de me rejoindre sur les lieux rapidement. Je quittais rapidement l’appartement et arrivais sur les lieux. Je fus rejoins quelques minutes plus tard par Mari et Jesse. Une vague d’énergie rouge projetais des voitures qui étaient garés dans les airs alors que les citoyens présents sur les lieux couraient dans tous les sens en criant de peur. Il fallait les mettre à l’abris avant d’intervenir. Je sauve de justement une femme et son enfant et les mets à l’abris tandis que ce Neutron continue d’envoyer des vagues d’énergie faisant exploser des voitures. Je cours en direction de Neutron qui m’envoie deux boules d’énergies que j’évite mais ne peux éviter la vague d’énergie qui émane de lui. Je la prends de plein fouet et elle me propulse à quelques mètres. Alors que j’allais toucher le sol, je me fais rattraper par l’amour de ma vie.

- Merci mon amour, encore une fois tu me sauves , lui dis-je en lui souriant. Gideon, dis-moi plus sur ce méta.  

- Oui, Barry. Nathaniel Tryon dit Neutron est un méta-humain dont le pouvoir est l’émission d’énergie comme vous pouvez le voir. Il est capable de produire et de libérer des ondes d'énergie omnidirectionnelles en cascade qui peuvent causer la destruction de l'environnement proche. Les ondes d'énergie sont libérées automatiquement, de sorte que l'onde d'énergie suivante est libérée avant que la première vague d'énergie disparaisse. Il peut également libérer des explosions d'énergie de ses mains. Son costume semble l’empêcher d’exploser. Faites bien attention, Barry.

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Je m’appelle Jesse Chambers et je suis la femme la plus rapide du monde. Depuis toute petite je vis dans un monde de super héros, mon père étant Johnny Quick, et ma mère Liberty Belle. Mon père m’a donné sa formule pour me liée à la Speedforce, mais cela a pu sceller mon destin, comme ça a scellé celui de mon père. Aux yeux du monde, je ne suis que la PDG d’un groupe pharmaceutique racheté par ma mère mais j’ai un secret, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Jesse Quick.



Je sentais de la méfiance vis à vis de moi et c’était bien normale a vrai dire. Ils ne me connaissent pas, alors que moi je semble savoir beaucoup de chose sur eux. Bien que mes connaissance sur Flash ne sont que pur déduction, lié à sa vitesse de base. Je doute qu’il est utilisé quelconques sérum pour obtenir sa vitesse. Par contre, je sais beaucoup de chose sur le totem de Mari du fait que mes parents m’en ont beaucoup parlé. Enfin, c’était une certaine Amaya Jiwe qui était alors Vixen à cet époque. Beaucoup de chose ont évolué entre temps, mais les pouvoirs restent les mêmes. De plus, je me suis intéressée de très près aux super héros des temps moderne, lorsque j’étudiais. Néanmoins, il fallait peut être que j’arrête de ramener ma science à tout bout de champ, il faudrait que je me dévoile un peu plus pour qu’ils me fassent confiance j’imagine. Puis, si il refuse, je reprendrais mes expériences et je trouverai bien une solution qui me permettrait de survivre et de pouvoir sauver des vies. Ou alors, je rangerai le costume de Jesse Quick au placard, car je ne veux pas finir dans le même état que mon père. Bien qu’il est mort dans l’anonymat la plus complète, héros secret, qui sauvait des vies dans l’ombre. C’était difficile à prendre une décision et si j’avais été à la place de Barry, je lui aurait très certainement pas donner mon sang. Soudain une voix se fit entendre, assez féminine, mais pas humaine, une intelligence artificielle ? Impossible, notre technologie n’est pas assez avancé pour ça. Je remet donc mon masque en entendant qu’une menace était détectée au centre ville.

- Je comprends tout à fait Flash, il faut sauver ta ville, les innocents sont plus important que mon problème personnel !  , j’avais repris ma voix modifiée de super héroine, un peu par réflexe.

Barry part à grande vitesse et je me tourne vers Mari un peu gênée. Je me rend compte à quel point ça doit être chiant quand un speedster quitte la pièce à toute vitesse sans qu’on puisse vraiment dire grand chose.

- Je prend note, partir à grande vitesse, ça peut vite énerver les autres ! Je ne m’en étais jamais rendue compte ! Je vais courir à la même vitesse que toi, comme ça si tu as des questions à me poser je pourrais !  , dis-je en souriant.

On rejoignit alors Flash en centre ville, la menace semblait être puissante, je ne voyais pas comment faire, les ondes de choc semblait faire une défense parfaite. Même si on en évitait une première, on ne pourrait jamais évitait la seconde. Déjà éviter la première semblait impossible. La première chose à faire c’était d’évacuer la zone.

- Je vais essayer d’évacuer tous les civils de la zone, histoire d’éviter les risques et qu’on puisse se concentrer sur la menace. Je devrais être assez rapide pour éviter les ondes pour le moment, mais elles semblent s’intensifier au fur et à mesure du temps. , dis-je en essayant d’analyser la situation. Après tout, moi j’ai pas une IA pour m’aider.

Je me mis à courir, courir aussi vite que je le pouvais, prenant les civils et les éloignants dans des lieux sûrs. Je leur dit de s’éloigner de la zone de danger, afin de minimiser les risques. Je commence par les personnes les plus proches et dans les bâtiments qui sont le plus susceptible de s’écrouler. J’espère que Flash va trouver un plan.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Je dois bien avouer que ce méta semblait puissant avec ses ondes d’énergie. Alors que la première se finissait, une seconde émané de lui juste derrière, ce qui m’empêcher de l’approcher. La preuve, la première me toucha de plein fouet et c’est Mari qui me rattrapa au vol. Je souris à ces mots « Ne t'y habitue pas trop... idiot. » Ce surnom. Je l’adore depuis le début qu’elle me la donnait. Certains l’aurait mal pris, mais pas moi car c’est le petit surnom affectif qu’elle me donne. Elle me dépose à côté de Jesse et se pose à mes côtés. Jesse annonça alors qu’il fallait mettre les civils qu’il reste dans les rues à l’abri et les évacuer loin d’ici. J’acquiesça de la tête et Jesse évacua les civils en super vitesse. Mari toujours à mes côtés me demanda si j’avais une idée pour le stopper. Elle ajouta alors qu’avec deux speedsters, on devrait y arriver mais là, j’avais des doutes surtout qu’on ne pouvait pas l’approcher sans être toucher par une des deux vagues d’énergie. Barry, réfléchis vite, vite. Mari ajouta alors que lui envoyait un décharge électrique endommagerait son costume. Elle avait raison et celui-ci semblait le contenir donc à éviter.  

- Oui je crois qu’on va éviter la décharge, son costume semble le contenir et je dois t’avouer que je n’ai pas envie de mourir aujourd’hui. Tu sais j’aimerai vraiment avoir des enfants.

Venais-je de dire ça ? Ces mots étaient vraiment sortis de ma bouche ? Humm… Et bien oui, ils étaient bien sortis de ma bouche. Neutron commença à s’approcher de nous tout en continuant de laisser des vagues émanaient de son corps.

- Flash, prépare-toi à faire tes adieux, annonça-t-il avant de tirer des boules de feux.

En super vitesse, je me déplaçais en saisissant Mari par la taille. On se retrouva à quelques mètres de là où nous étions avant. Il continua de nous tirer dessus et ses tirs devaient plus rapide comme s’il analysait ma vitesse. Et encore, je n’utilisais pas beaucoup de ma vitesse là. Mais qui était ce méta sérieux et que me voulait-il ? Au loin, j’entendis les sirènes des voitures de police. Non il ne fallait pas qu’ils viennent ici sur les lieux c’était trop dangereux. Je demandais à Jesse d’aller vite à leur rencontre les empêcher de venir ici. Me retournant vers Mari, je lui dis alors que son idée de devenir invisible pourrait fonctionner et que j’allais faire diversion pour qu’elle puisse s’en approcher en évitant les vagues d’énergies. Il fallait que ça fonctionne, nous devions coute que coute l’arrêter.

- Alors Neutron comme ça, tu veux que je fasse mes adieux ? Humm… Honnêtement, je n’ai pas très envie de les faire. Tu sais, je suis bien trop jeune encore pour mourir et j’ai encore beaucoup de boulot à faire pour arrêter les criminels et les tarés dans ton genre. Et si on en finissait maintenant ? Il y a une cellule bien chaude qui t’attends à Iron Heighs. Tu préfères la manière douce ou la manière forte ?

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Je m’appelle Jesse Chambers et je suis la femme la plus rapide du monde. Depuis toute petite je vis dans un monde de super héros, mon père étant Johnny Quick, et ma mère Liberty Belle. Mon père m’a donné sa formule pour me liée à la Speedforce, mais cela a pu sceller mon destin, comme ça a scellé celui de mon père. Aux yeux du monde, je ne suis que la PDG d’un groupe pharmaceutique racheté par ma mère mais j’ai un secret, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Jesse Quick.



Décidément, ce n’était pas de tout repos de jouer aux justiciers. Moi qui pensais juste rencontrer Flash et discutait tranquillement, me voilà à courir le plus vite possible. Encore, sauver des vies ne me dérange pas, c’est le job des héros et je veux aider mon prochain. C’est pour ça que j’ai mis le costume de Jesse Quick, parce que je voulais changer les choses et honorer la mort de mon père. Il a toujours été mon héros, pas parce qu’il avait des super pouvoirs, mais parce qu’il a toujours tout fait pour aider les innocents. Il a risqué sa vie, il savait bien avant de mourir qu’utiliser ses pouvoirs comporter un risque. Pourtant, il a fait ce choix, risquait sa vie pour aider celle des autres. J’ai vraiment été surprise en lisant son carnet, il avait fait le choix de sacrifier sa vie pour sauver une majorité. C’est ce qui m’a permis de sortir du doute quand j’ai cette épée de damoclès au dessus de ma tête. Si je dois me sacrifier pour sauver des milliers de gens, je le ferai, car c’est ce que tout justicier devrait faire. Néanmoins, je n’étais pas préparé à une telle menace, à vrai dire, c’était le premier méta humains que j’affronte. Autant des mercenaires et des membres de cartels de drogue c’est facile, autant, les métas humains c’était complexe car il fallait trouver leur point faible. Ce dernier avait tout de même une très bonne défense. Des vagues d'énergie croissante qui commence avant que la précédente se finisse. Pourtant, il devait bien y avoir un point faible.

Après avoir évacué les civils, je retourne auprès de Flash et Vixen, en espérant qu’ils aient une solution. Après tout, ils ont l’habitude d’affronter ce genre de criminel et hors de question que j’envois un sms à ma mère demandant de l’aide. Déjà parce que Liberty Belle n’a pas fait son apparition depuis longtemps et parce que je dois apprendre à gérer ce genre de crise. Donc la meilleure façon c’est de résonner de manière scientifique et d’essayer de résoudre ce problème par des équations. Malgré cela, je ne pouvais pas utiliser un tableau en pleine situation de crise et donc j’allais devoir tout faire mentalement. Je prie pour que Barry trouve une solution efficace et qu’au moins, ça me serve de leçon pour les combats à venir. En tout cas, l’attention de Neutron semblait être concentré sur Flash, ça pourrait peut être me laisser un point d’entré. Néanmoins, comme les problèmes ne viennent jamais seuls, les sirènes de police commencèrent à résonner au loin. Parfois, j’ai l’impression que les gardiens de la paix sont inconscients du danger. Le bolide écarlate me demanda de m’en occuper et j'acquiesce, utilisant ma vitesse pour les arrêter.

- Pour votre sécurité, je vous conseille de ne pas approcher la zone, vous ne pouvez rien faire contre ce méta humains. Vos armes seront inefficace. Néanmoins, le périmètre doit être bouclé et la zone évacuée. Nous ne savons pas quelle puissance peut dégager le criminel alors limitons les risques … et oui, je suis une alliée de Flash avant que vous posiez la question. , dis-je en souriant.

Il me regardait d’un air crédule comme si je venais d’un autre monde. Puis, l’homme qui semblait diriger, ordonna à ses hommes de m’écouter et de faire un périmètre de 2km autour de Neutron et de l’agrandir au fur et à mesure par sécurité. Une fois que je fus sûr que tout était clair, je rejoins mes deux alliés. Essayant de me rappeler les données que j’avais. Soudain une idée folle me vient, mais ça pourrait marcher … mais causer beaucoup de dégât à la ville si je me rate. Pourtant, c’était peut être un risque à prendre.

- Flash, est ce que ton IA sait si Neutron dégage plus de chaleur avant ses vagues d’énergies et à quelle fréquence il envoie ses ondes. J’ai besoin de données, j’ai peut être un plan mais c’est risqué et je ne voudrais pas tout faire foirer à cause d’une erreur de calcul. , dis-je un peu inquiète.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




La police. Les collègues sont sympas mais ils savent très bien qu’ils ne peuvent rien contre les méta-humains. Seuls nous les super héros nous pouvons les arrêter. Non il n’y a aucune prétention dans mes paroles, j’établis juste les faits. Bref. Jesse va s’occuper d’eux tandis que moi et Mari on va s’occuper de notre super vilain. Après avoir établi notre plan, Mari se rendit invisible et se dirigea vers Neutron. Je commençais alors mon numéro et j’allais m’en donner à cœur joie. Bon pas trop non plus, je n’ai pas envie qu’il me tue. Imaginez dans les infos Flash est mort à cause d’une blague de trop. Ça ne le fait pas trop non ?

Le plan à l’air pour le moment de fonctionner. Neutron est agacé et se dirige vers moi. Viens mon petit Neutron. Allez chérie à toi de jouer. Je la vis réapparaître et je suppose qu’elle a invoqué l’esprit du gorille, elle le ceinture autour des bras et là je la vois… faire une prise de catch. Oui oui une prise de catch. Je souris bêtement en la voyant faire mais je m’aperçois vite que quelque chose cloche. Je la vois qu’elle est mal comme si elle était irradiée. Ni une, ni deux je pars en super vitesse pour la sortir de là. La scène semble se passait au ralenti. J’esquive la première vague en passant au-dessus puis la seconde de justesse avant d’attraper Mari et nous mettre plus loin. Je lui demande si tout va bien. Elle me répond que oui oui même si elle vient de vomir. Ce plan était vraiment une mauvaise idée je crois. Il fallait qu’on trouve vite autre chose avant que la situation n’empire. Et comme elle vient de me le dire, on n’a pas pensé à ce qu’il puisse dégager des radiations et ça, ça va compliquer encore plus les choses. Pas vraiment le temps d’aller chercher une combinaison antiradiation, quoi qu’en hyper vitesse mais non.

Soudain, Mari me pousse et me fait éviter une onde. Jesse revient alors et on s’éclipse pour se mettre à l’abris le temps d’établir un nouveau plan qui cette fois-ci pourrait fonctionner. Jesse nous dit alors qu’elle a peut-être un plan mais si on loupe, cela pourrait causer plus de problèmes à la ville qu’elle en a déjà. Je crois que c’est le moment de faire confiance à Jesse Quick. Et si son plan fonctionne, alors que peut-être je pourrais l’aider dans sa demande qu’elle m’a faite. Elle me demande alors si Gideon sait s’il dégage plus de chaleur avant ses vagues d’énergies et à quelle fréquence il envoie ses ondes.

- Gideon, as-tu entendu les questions de Jesse ?

- Oui, Barry. Alors effectivement, il dégage une chaleur plus forte avant ses vagues, la température de son corps augmente puis il envoie ses vagues. Si mes calculs sont exactement, il y a 3 secondes qui s’écoulent entre les deux ondes d’énergie qu’il dégage.

- Ces informations te conviennent ? Nous t’écoutons Jesse , dis-nous ton plan.

Nous la regardions, attendant qu’elle nous dévoile son plan. Même si je commençais à comprendre un peu où elle voulait en venir, surtout quand elle a demandé pour la chaleur. Voudrait-elle le refroidir ? C’est dans ces moment-là que j’aimerai que Killer Frost soit mon alliée et non mon ennemie.

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Je m’appelle Jesse Chambers et je suis la femme la plus rapide du monde. Depuis toute petite je vis dans un monde de super héros, mon père étant Johnny Quick, et ma mère Liberty Belle. Mon père m’a donné sa formule pour me liée à la Speedforce, mais cela a pu sceller mon destin, comme ça a scellé celui de mon père. Aux yeux du monde, je ne suis que la PDG d’un groupe pharmaceutique racheté par ma mère mais j’ai un secret, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Jesse Quick.



Le plan de Barry et Mari fût un échec, pas parce que Vixen n’a pas atteint la cible, mais parce que ce dernier envoyait des radiations à courte portée. Tout cela semblait être mauvais signe mais il fallait que je tente ma chance, sinon je ne voyais pas de moyen pour l’arrêter et on pourrait dire adieu à Central City. Pourtant la défaite n’était pas envisageable, je refusais l’échec tout simplement et si Flash et Vixen n’auraient pas été là, ça aurait été pareil. Je préfère risquer ma vie que perdre des innocents. Je pense à chaque crime commis, chaque meurtre qu’on ne peut pas éviter. Alors, je ne compte pas laisser un méta-humain détruire une ville. Je regarde le couple et je leur souris quand Barry me dit qu’ils m’écoutent. Je fais rapidement les calculs avec les données de Gideon. 3 secondes est un espace assez grand, il n’arrivera pas à couper la vague à temps.

- J’ai besoin que vous fassiez en sorte qu’il ne se retourne pas. Moi, je vais prendre des risques mais je compte bien sauver ta ville Flash. Par contre, je préfère prendre le risque moi même, car si ça foire, je ne veux pas que ça retombe sur le héros de Central City, mais sur la nouvelle venue. Tu es un symbole et les gens ont besoin de symbole. Tu es un bon héros, et je t’admire pour ça ! Tu as pris le costume sans hésitation, alors que moi j’ai attendu si longtemps pour le mettre ...  

Je marque un temps de silence en ayant l’air un peu triste. Puis je me met à courir, courir plus vite que je l’ai jamais fait. Derrière Neutron, loin derrière lui, jusqu’à l’eau. Je me dis qu’heureusement il est sur une grande rue. Je me met à courir sur l’eau, rapidement et je fais des aller tour à bonne distance de la côte et une immense vague commence à se former. Une sorte de raz de marrée, avec une puissance assez grande pour refroidir le métas humain … enfin je l’espère. Puis je pars dans sa direction en slalomant en faisant des longues de moins en moins grande et rentrant dans la grande rue poursuivi par la vague. Je m’aide de ma force en même temps pour éloigner les voitures du chemin et éviter au maximum les dégâts. Merci maman pour ta super force. Je m’approche rapidement de Neutron, je vois une vague commencer à sortir et je compte. 3...2...1, une autre, c’est parfait, je continue ma course et j’arrive sur lui esquivant une première vague alors que la mer se déchaîne derrière moi. Je me prend la seconde et je suis projetée dans l’eau mais la vague recouvre Neutron et moi ...

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Jesse nous explique son plan tandis que Mari est entrain de muer, réparant les tissus contaminé par l’irradiation de notre ennemi. C’est bien ce que je pensais pour son plan. Un plan risqué mais qui pourrait s’avérer être efficace si elle réussit. Il ne doit pas se retourner. Elle a vraiment le sens de l’héroïsme, elle préfère se sacrifier elle au lieu que tout me retombe dessus. Finalement, peut-être qu’on peut lui faire confiance. Humm occupons-le encore alors. Après tout il est venu pour moi, pour me tuer. Jesse se met alors à courir à toute vitesse, Mari invoque l’esprit du faucon et m’embrasse tendrement avant de s’envoler. Je souris à son baiser et lui dis de faire attention à elle avant qu’elle ne me dise qu’elle pourra surveiller Jesse de là-haut. Parfait ma chérie. On faisait vraiment une bonne équipe que ce soit sur le terrain ou dans notre vie privée et j’aimais tellement cela. Mais revenons à nos moutons… euh notre neutron… je fais de grands signes à Neutron et crie son nom. Celui-ci se tourne vers moi et me tire dessus. Hop esquive. Louper mon coco. Retente. Soit il lit dans mes pensées, soit il veut vraiment ma peau. Bientôt le remake de « Qui veut la peau de Roger Rabbit ? » devient « Qui veut la peau du Bolide Barry ? » ça le fait non ?

Trêve de plaisanteries, je vois la vague arrivée au loin. Pour le moment, tout se passe comme il faut. La vague arrive, Neutron n’y voit que du feu. Bien bien, on va pouvoir lui donner une bonne cellule à Iron Heighs dans quelques minutes. Soudain, Mari me dit de m’éloigner, ce que je fais immédiatement tandis qu’elle s’élève plus haut. Me rapprochant des policiers, je vois la vague s’écrouler sur Neutron mais aussi sur Jesse. Aie, ça par contre je crois que ce n’était pas prévu. Alors que j’allais la sortir de là, Mari me dit qu’elle s’en occupe et je décide donc de m’occuper de notre vilain du jour. Par chance, les policiers ont les bracelets spéciaux anti-méta qui coupent une fois mis tout pouvoirs. Une fois l’eau évacué et Jesse récupéré par Mari qui commence à la sermonner, je cours vers un Neutron inconscient. Rapidement, je lui mets les menottes qui lui bloque tout ses pouvoirs. Les collègues arrivent alors après que je leur ai fait signe que c’était bon et rejoins ma petite amie et Jesse. Ouf, elle est en vie tant mieux. Je sens ma chérie énervée, je lui pose un main dans le bas de son dos tout en la regardant dans les yeux pour qu’elle laisse retomber la tension. Je regarde Jesse et prend la parole.

- Bien la ville est sauve même si ce que tu as fait été vraiment de l’inconscience. Enfin bref, je pense que nous pouvons quitter les lieux. Les policiers vont prendre le relais et amener notre petit Neutron directement à la case prison. Et je crois que nous avons une affaire à régler non ?

C’est ainsi qu’on quitte les lieux après avoir bien vérifié que tout était ok et nous nous retrouvons à l’appart. Je range mon costume dans ma bague et me tourne vers Jesse.

- Tu m’as prouvé ton honnêteté aujourd’hui sur le terrain et nous pouvons te faire confiance. Je vais accéder à ta requête mais néanmoins, ne m’en veut pas si je veux être présent pendant tes analyses.

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Je m’appelle Jesse Chambers et je suis la femme la plus rapide du monde. Depuis toute petite je vis dans un monde de super héros, mon père étant Johnny Quick, et ma mère Liberty Belle. Mon père m’a donné sa formule pour me liée à la Speedforce, mais cela a pu sceller mon destin, comme ça a scellé celui de mon père. Aux yeux du monde, je ne suis que la PDG d’un groupe pharmaceutique racheté par ma mère mais j’ai un secret, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Jesse Quick.



Ce qui m’a fait perdre connaissance ne fût pas la vague, mais la douleure quand j’ai reçu l’onde de Neutron de plein fouet. J’avais l’impression que mon thorax s’enfonçait sur mes poumons et m’empêcher de respirer. Dans mon plan initiale, j’avais prévu de remonter la vague à grande vitesse, mais j’avais l’impression d’être paralysée, de ne plus pouvoir bouger alors que je rentrer dans la vague. On dit que mourir noyé et la pire des morts, et bien je ne peux que confirmer. Je sens l’eau remplir mes poumons et les ténèbres m’entourer. Je suis désorientée, comme si il n’y avait plus de direction, plus de haut, plus de bas, que de l’eau et du courant. L'inconscience vient rapidement, à vrai dire, je n’ai pas envie de lutter. En faite, je me laisse porter, car même si la mort est horrible, je me sens en paix, ainsi privé d’oxygène je n’ai pas envie de lutter. Je vois cette lumière au bout du tunnel, puis je vois un homme … mon père.

Je suis assez surprise, à vrai dire, je n’ai plus l’impression d’être dans mon corps, j’ai l’impression d’être hors du temps. Il me fait face, avec son sourire insolent sur les lèvres, le même sourire qu’il avait quand il me donnait des cours de physique chimie et que je me trompais. Pourtant, souvent, je savais que ce sourire était bienveillant et qu’il m’aimait. Je savais que si je tendais le bras, je ne pourrais jamais le toucher, car si je le touchais, ça voulait dire que c’était une fin définitive pour moi. Johnny Quick croise les bras et secoue la tête.

- Jesse, il faut toujours que tu te mettes en danger, c’est héroïque mais ce n’est pas toujours nécessaire. En tout cas, sache que je suis fière de toi ma fille, tu es plus rapide que je ne l’ai jamais été, à vrai dire, je pense que tu es liée à la speedforce, comme le sont les deux Flash. D’ailleurs, demande à ta mère comment le premier Flash est devenu Flash, ou demande peut être à Barry, la solution est toute proche. C’est la dernière fois que je t’apparais, c’est un cadeau de la speedforce. Alors fonce Jesse Quick, court aussi vite que tu le peux, sauve le monde et surtout sois heureuse, trouve quelqu’un qui fera ton bonheur. Je t’aime et ta mère aussi t’aime, ne l’oublie pas, parle lui !

Je sens une larme couler le long de ma joue alors que je reprend connaissance, le visage de Mari au dessus de moi. Je recrache l’eau que j’avais dans les poumons essuyant discrètement la larme qui coulait le long de ma joue. Mon coeur était serrée par le discours de mon père. Je n’ai pas pu lui répondre que moi aussi, ayant été extirpée des ténèbres. Vixen semblait très en colère contre moi. En même temps je la comprends, j’ai pas été très intelligente sur ce coup. Au moins, j’avais arrêté Neutron et la ville n’avait pas subi trop de dégâts, c’est le plus important. Je me frotte l’arrière de la tête gênée. Je savais très bien que j’étais la seule responsable.

- Petite erreur de calcul, je pensais pas que son onde faisait autant mal. Je suis désolée de vous avoir fait du soucis, mais je savais que vous seriez là pour me sauver en cas d’imprévu. Bon promis, la prochaine fois je vous dis mon plan en entier, mais voyons le bon côté des choses, la ville est sauvée et Neutron va être mis derrière les barreaux. , dis je en souriant gênée.

J’hoche la tête quand Barry dit qu’on a autre chose à régler. C’est vrai, je suis venue lui demander son aide, pas me sacrifier à la première occasion venue. Je baisse un peu la tête, honteuse de ce que j’ai fait et pourtant, si c’était à refaire, je le referai, car ça m’a permise de voir mon père. Cela m’a fait énormément de bien, même si je sens une immense tristesse m’envahir. J’ai envie de me rouler en boule dans un coin et pleurer, comme quand mon père est mort. Pourtant je garde mes larmes pour moi, comme je l’ai toujours fait. Je m’empêche surement de faire mon deuil, mais je n’y arrive pas, je ne veux pas pleurer. Une fois arrivée à l’appart je regarde Barry, je suis hyper jalouse de son anneau, à vrai dire j’aimerai bien la même. Cela m’aurait évité tellement de soucis. Enfin bon, j’enlève mon masque et je reste debout, ne voulant pas mouiller leur fauteuil.

- Tu pourras assister à toute mes analyses et à toute mes recherches. Je comptais vous les partager de toute façon. Je préfère être totalement transparente avec vous. C’est pour ça que je dois aussi vous parler de ce que je sais de vous, afin que vous ne soyez pas trop surpris. Par exemple, je sais que Barry n’est pas le premier Flash, même si je ne suis pas sûr que tu sois au courant. J’en sais aussi sur ton totem Mari parce que mes parents ont fait équipe avec une précédente possesseur du collier. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai confiance en vous, parce que je sais que comme vos prédécesseurs, vous êtes des bonnes personnes. , dis je en souriant.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Je jette un œil à Mari qui est parti dans la cuisine, je sens sa colère et sens qu’elle a du mal à se calmer. Respire mon amour, ne pense plus à ce qu’il s’est passé. Tout en écoutant les dires de Jesse, je continue de garder un œil sur l’amour de ma vie qui se prépare un thé. Jesse me dit alors qu’elle comptait à ce que j’assiste aux analyses et qu’elle ne nous cacherait rien. C’est alors qu’elle nous dit tout ce qu’elle sait sur nous. Je sais que je ne suis pas le premier Flash puisque c'était mon ancien professeur, Jay Garrick, le tout premier Flash qui faisait parti de la Société de Justice. Puis elle parle du totem de Mari qui attire son attention. Je vois Mari revenir vers nous et s’adresse de manière assez brutale, trop brutale d’ailleurs. Je la regarde en fronçant les sourcils tandis qu’elle dit qu’elle ne sait rien sur nous et demande ce qu’elle sait sur les totems d’Anansi et le nom de l’ancienne gardienne. Mari m’avait toujours dit que sa mère biologique n’avait jamais utilisé son totem et qu’elle avait donné aux McCabe le jour où ils ont adopté Mari. Mon expression faciale changea quand je venais de réaliser quelque chose, je pense savoir de qui Jesse parle puisque le totem se transmet le plus souvent de mère à fille. C’est sa grand-mère qui le possédait.  

- Serait-ce la grand-mère de Mari ? dis-je alors en regardant Jesse et Mari que je sentais toujours énervé, agressive et qui avait du mal à se calmer.

Il fallait que je l’aide à se calmer et rapidement avant qu’elle ne s’énerve contre Jesse. Je prends Mari par la main et on s’éloigne de notre invitée. Posant ma main sur sa joue, je la regarde dans les yeux et lui parle mais elle est trop en colère, trop de colère en elle et préfère partir se changer dans la chambre. C’est vrai qu’elle porte toujours sa tenue. D’ailleurs, je dois remédier à ce problème pour qu’elle puisse quand on doit partir rapidement sur le terrain s’habiller plus rapidement. Contrairement à moi qui enfile mon costume en super vitesse, le sien devra se matérialiser directement sur elle. Va falloir que je vois ça avec Gideon. Bref revenons au sujet principal : Jesse. Mari s’en alla dans la chambre, claquant la porte derrière elle qui me fit sursauter comme un idiot. Je revins vers Jesse qui attendait.

- Bien, allons dans mon labo où tu pourras prendre mon sang.

On se dirigea vers mon labo à l’étage. Devant la porte, je posai ma main sur le lecteur d’empreintes digitale et Gideon annonça « « Identification : Barry Allen, autorisé ». La porte s’ouvrit et j’entrai à l’intérieur suivi de Jesse. On s’installa, prenant le matériel pour me faire une prise de sang. Elle me fit la prise de sang, je tournais la tête quand elle planta l’aiguille. Et oui le grand Barry Allen n’est pas trop fan des aiguilles. Après avoir fini, j’entendis un bruit provenant de la chambre. Mais qu’est-ce qu’elle fait ? Je dis alors à Jesse de rester ici et que je devais aller voir Mari. Discrètement, je demandais à Gideon de garder un œil sur Jesse. Après tout, elle avait mon sang dans une fiole dans les mains. Je sortis du labo, refermant la porte derrière moi et me dirigea vers la chambre. Entrant dans celle-ci, je vois alors la commode comment dire, fracasser et l’armoire. Mari se tient là, en sous-vêtements toujours aussi énervé en train de se changer. Elle me regarde, me lançant un regard que je n’ai encore jamais vu. Mais qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi elle réagit comme ça ? Son collier aurait une influence sur elle depuis tout à l’heure ? Je m’approche d’elle et la prends dans mes bras, la serrant contre moi.

- Qu’est ce qui se passe mon cœur ? Pourquoi tu te mets dans des états pareils ? Si elle connait des choses sur tes origines, ça sera le moment d’en savoir plus mais ne t’énerve pas comme ça d’accord, lui dis-je d’une voix calme et sereine.

Je vois alors miraculeusement son visage s’adoucir quand elle me regarde dans les yeux. Je lui souris et vient l’embrasser tendrement et amoureusement, posant mes mains sur ses hanches dénudées avant de déposer des bisous tout doux dans son cou comme elle aime. Je profite de ce moment, seul avec elle. D’ailleurs quand tout cela sera réglé, il va falloir que je rattrape cette journée qui était censé être une journée en amoureux.

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Je m’appelle Jesse Chambers et je suis la femme la plus rapide du monde. Depuis toute petite je vis dans un monde de super héros, mon père étant Johnny Quick, et ma mère Liberty Belle. Mon père m’a donné sa formule pour me liée à la Speedforce, mais cela a pu sceller mon destin, comme ça a scellé celui de mon père. Aux yeux du monde, je ne suis que la PDG d’un groupe pharmaceutique racheté par ma mère mais j’ai un secret, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Jesse Quick.



Je ne m’attendais pas à une telle colère, à une telle bestialité. On aurait dit que Mari était prête à m’encastrer dans le mur avec la force d’un gorille et d’un éléphant en même temps. Dans tous les cas, rien de très agréable pour moi si elle décide de passer à l’action. A vrai dire je ne comprenais pas cette réaction, je voulais être honnête alors pourquoi tant d'agressivité. N'était ce pas normale de partager toute les informations qu’on avait. Avais-je dis quelques chose qu’il ne fallait pas. Au final, Vixen a raison, je ne sais rien d’eux deux. Je pars de déduction en déduction, mais je peux être dans le faux. Je n’aurai peut être pas dû venir, et restée dans mon labo, après tout, il y avait sûrement d’autre moyen que de prendre le sang de Barry. C’était de toute façon trop tard et je partirais une fois que j’aurai fait mes analyses. Je les laisserai tranquil et je donnerai les informations que s'ils les veulent. Je me sentais de trop, en même temps j’étais dans leur intimité. C’est pour ça que je n’aimais pas être invitée à dîner chez mes amis en couple, on se sent toujours de trop, on a peur de déranger et finalement vu qu’on ne sait pas sur quel pied danser on arrive pas à profiter de la soirée. C’était un peu ce que je ressentais ici, cette sensation d’être de trop, ou peut être de ne pas être la bienvenue. Comme si on m’avait jeté dans la cage au lion et qu’ils n'attendent qu’une chose c’est que je baisse ma garde. Je soupçonne que le totem soit lié à ce comportement animal qu’à Mari. Peut être n’était elle pas dans son état normal … Dans tous les cas, je ne peux rien faire et si elle m’attaque je ne riposterai pas. Je pense que si je me concentre je peux me contenter d’esquiver ses coups et peut être que je partirai afin de les laisser tranquil. Je n’ai pas envie de me battre avec une justicière, déjà parce que ce n’est pas la meilleure façon de créer des liens et parce que je ne suis pas sûr qu’elle soit dans son comportement normal. Soudain je compris quelque chose quand Barry me demanda si c’était sa grand mère. Je n’avais pas les informations concernant son lien de parenté avec Amaya Jiwe, mais maintenant que j’y pense elles avaient un air de famille. Le bolide écarlate essaye de calmer Mari, mais elle part dans sa chambre pour se changer. Je soupire un peu, me sentant responsable.

- Je suis désolée … je n’aurai pas dû dire ça … Je parlerai de la précédente porteuse de totem quand elle sera calmée. Je ne veux pas créer de problème.

Nous nous rendons par la suite au labo et j’effectue une prise de sang à Barry. C’est marrant, on dirait presque un enfant, enfin bon il a le droit de détester les piqûres. Ce n’est pas forcément rationnel, mais c’est son droit. On entendit du bruit, sûrement provenant de la chambre et Flash décida d’aller voir. De toute façon, je ne comptais pas bouger d’ici. Une fois qu’il est parti, je pose la fiole et j’enlève le haut de ma tenue pour m’osculter. J’avais toujours une douleure assez vive et en effet je pouvais voir un hématome gigantesque au niveau de ma cage thoracique. Si j’avais pas de facteur d’auto guérison, j’aurai sûrement fini à l’hôpital à cause de mes blessures. J’enlève entièrement mon costume et détache mes cheveux. Je le pose histoire qu’il sèche et je pique une blouse que je referme. Je serai mieux pour travailler. De plus, mon costume à tendance à me coller au corps et ça n’aide pas forcément pour la guérison. Je prend note qu’il faudrait que j’analyse ma blessure plus en détail, si elle persiste, une fois que je serai rentrée. Je me fais une prise de sang, je connais mes globules rouges quasiment par coeur, mais je préfère tout de même avoir mon sang pour comparer. Je pose une goutte du sang de Barry sur une lame, puis une goutte du miens sur une autre et je commence à l’étudier. La douleure vive m’empêche de me concentrer à 100%. Je peste un peu.

- Si seulement on pouvait faire les analyses à ma place, ça serait tellement plus simple. Allez Jesse reprend toi, c’est pas une douleur qui va t'arrêter. Tu as connu pire, tu as bien passer un examen de chimie alors que ton bras se ressouder après que tu sois tombée d’un peu trop haut. Alors analyser du sang ne devrait pas être si compliquée avec un hématome sur le torse , dis je pour me rassurer.

Codage par Libella sur Graphiorum

Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Après avoir laissé Jesse, j’avais rejoint Mari dans la chambre. Elle est là, debout devant l’armoire. Je remarque alors la commode fracassée mais aussi son poing abimé. Je m’approche d’elle et la prends dans mes bras. Je l’embrasse. Elle me regarde. M’embrasse à son tour et reste dans mes bras. Je remarque une larme coulé le long de sa joue. Même si sa colère s’apaise, je sens désormais de la tristesse, de la peine. Il va falloir qu’on en parle car je ne veux pas qu’elle garde tout ça en elle, je veux qu’elle me parle, je suis là pour l’écouter. Je suis son ami, son partenaire de vie, son amant, son amour. On doit tout se dire. Elle pose son front contre le mien et elle prend alors la parole. C’est vrai que j’ai connu ma mère avant qu’elle ne soit assassiné quand j’avais onze ans et mon père, même s’il est en prison à tort il est toujours vivant. D’ailleurs, je veux bientôt lui présenter Mari, la femme de ma vie. Je veux qu’il connaisse celle qui fait battre mon cœur chaque jour d’avantage, aujourd’hui plus qu’hier mais moins que demain. C’est alors qu’elle ouvre son cœur une fois de plus. Elle n’a pas connu ses parents biologiques. Elle n’a ni souvenirs, ni photos, rien … Absolument rien. Juste des noms, des descriptions mais rien d’autres.

Je ressens alors toute sa tristesse dans sa voix. Mon cœur est alors envahi de tristesses à mon tour. Mais je commençais alors à comprendre la réaction qu’elle avait eu envers Jesse tout à l’heure. C’est vrai que ce n’était pas simple d’entendre de la bouche d’une inconnue des choses sur son passé alors que soi-même on ne sait rien. Peu à peu, une idée commença à germer dans ma tête. Après tout ça, nous partirons à la quête de ses origines. Nous prendrons la direction de la Zambésie et retrouverons son village. Je veux vraiment qu’elle trouve les réponses à toutes ses questions et c’est le seule moyen. D’ailleurs, il va falloir tirer un peu les vers du nez de Jesse pour savoir ce qu’elle sait sur Mari et son totem. Avec toutes ces infos, nous pourrons alors préparer notre voyage. Mais pour le moment, gardons ça secret. Je ne veux pas lui donner de faux espoirs.

C’est alors qu’elle s’excuse de sa réaction de tout à l’heure et elle ajoute qu’elle a abusé du totem, ce qui la fait revenir à ses instincts animal. Elle enfile un tee shirt puis un short et s’excuse en même temps pour ma commode et me dit qu’elle m’en rachètera une. Je la regarde en souriant et lui dis de ne pas s’en faire pour cela. Elle me remercie de l’aider à se calmer. Je lui souris et elle rit avec un petit rire gêné mais trop craquant. Je souris encore plus avec ses paroles d’après « plus vite elle aura fait ses analyses, plus vite on pourra se câliner. » Humm… j’aime quand on se câline et surtout qu’à la base, on devait se faire une journée en amoureux. Je pense qu’on va la rattraper juste après. Je l’embrasse à nouveau avant qu’on ne sorte de la chambre. On retourna au labo. Pas besoin de redire que je pose ma main sur le lecteur d’empreinte ? ah bah si je l’ai dit.

Je remarque alors que Jesse ne porte plus son costume et qu’elle porte une blouse blanche et qu’elle est entrain de faire les analyses. Je souris en voyant Mari levé les mains en signe de paix et s’excuse pour sa réaction de tout à l’heure. Je m’approche alors de Jesse et demande à notre nouvelle amie si elle a trouvé quelque chose dans mon sang qui pourrait l’aider. Puis tout en parlant, je glisse une question.

- Et sinon, Jesse, dis-nous ce que tu sais sur les totems et surtout sur celui de Mari ? , dis-je en regardant mon amour de ma vie.

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