[Central City] A third date in music [Feat.Mari McCabe]

Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.



Quelques jours étaient passés depuis notre deuxième rendez-vous et notre premier baiser. Ce premier baiser, juste à y penser, j’en frissonne encore. Le gout de ses lèvres que je sentais encore en fermant les yeux, la sentir contre moi c’était un aperçu du paradis. La vie avait repris son cours, le lendemain, je l'avais emmené dans notre tour de guet et les missions pour la Justice League également et c’est d’ailleurs maintenant que je rentre d’une mission effectuer avec Green Lantern. Il avait capté que j’étais ailleurs, dans mes pensées et tout de suite, il avait deviné que c’était une femme surtout quand il m’a demandé comment elle s’appelait ?

- Alors Barry, comment s’appelle la jeune femme qui occupe toutes tes pensées ?

- A ton avis, Hal, tu sais très bien à qui je pense, rétorquais-je.

- Hum… Je dirais une certaine brune, métisse qui fait des invocations animales et qui m’a bien rembarré au passage quand on a affronté cette cinglée de Reign ?

- Oui c’est bien elle, dis-je en souriant et encore plus quand Hal a dit qu’elle l’avait rembarré. Hal est mon meilleur ami mais il a tendance à draguer tout ce qui bouge et là avec Mari, il est mal tombé et j’en étais bien content. Il fallait qu’il se fasse remettre en place de temps à autre.

- Barry Allen amoureux ce n’est pas souvent que l’on peut voir ça, dit-il en se dirigeant vers ses quartiers dans la Watchtower.

- C’est sûr que par rapport à toi, pour moi c’est rare, répondis-je sur un ton humouristique.

Je fis de même et entrai dans mes quartiers. La porte se referma derrière moi et appuyant sur l’emblème de mon costume, celui-ci entra dans ma bague. Je retirai mes vêtements et me dirigea vers ma douche. Je fis couler l’eau chaude et me glissa dessous. L’eau coula sur ma peau nue, je fermai les yeux et profiter de ce moment calme tout en pensant à Mari. Dans quelques heures, je serai avec elle pour notre troisième rencard. Et ce soir, c’est à un concert symphonique que je l’emmène. Une petite soirée elle et moi pour mon plus grand bonheur. Tout ce que j’espère c’est que les supers vilains ne feront pas de siennes et resteront calme pour la soirée.



C’est devant sa porte que j’arrive en super vitesse à l’abris de regards, une rose rouge à la main. Prenant une grande inspiration, je sonne à la porte. Avec un peu de chance c’est Mari qui m’ouvrira. La lumière de l’entrée s’allume, le verrou se déclique et la porte s’ouvre. Et devant se tient …. Chuck. Shit….

- Bonsoir, Monsieur McCabe, Mari est-elle là ?  , lui dis-je en lui lançant le plus beau de mes sourires.

Codage par Libella sur Graphiorum

Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Je sentais que sous mes caresses, quelque chose en elle se passait. J’en avais la preuve quand elle but sa bière …d’un trait. Je crois que je n’ai jamais vu quelqu’un boire aussi vite. Je pense qu’elle essayait de se contrôler. On commença alors à parler et tout ça naturellement. Il n’y avait aucun blocage entre nous, on était naturelle comme si on se connaissait depuis toujours.

Elle me raconta tout de sa vie de sa vie à Détroit à sa promesse de protéger sa ville en passant par son mannequinat et j’aimais ça, j’aimais la connaitre et elle me plaisait encore plus, bien qu’elle me plaisait depuis le tout début. Ce qui me rendis triste c’est l’assassinat de sa mère, j’avais vécu la même chose et je savais très bien ce qu’elle ressentait. Je lui racontais à mon tour mon enfance avec mes parents avant le drame qui a touché ma famille, l’emprisonnement à tord de mon père, ma jeunesse avec Darryl qui m’avait accueilli après la mort de ma mère, mes années lycée avec Hal et Evanah, mon entrée en formation pour être policier scientifique, puis l’accident qui m’a donné mes pouvoirs, mes débuts en Flash.

A cet instant, on partageait vraiment tout de nos peines, de nos joies, nos expériences. Notre lien devenait vraiment de plus en plus fort et je sentais que quelque chose se passait à cet instant. On s’était rapproché, ne se lâchant pas du regard. Je remarque que ses jambes sont désormais pliées, sa tête contre mon épaule. Nos mains sont entrelacées et mon autre main se balade sur sa cuisse que je caresse. Je sens la chaleur de son corps augmenté et je sais qu’on a envie l’un de l’autre. Elle pose son autre main sur ma joue et vient m’embrasser. Je souris contre ses lèvres et continue notre baiser endiablé. Un baiser qui dure un petit moment, jouant avec nos langues. Se détachant de mes lèvres, elle se redresse et me regarde avant de me demander timidement si elle pouvait rester cette nuit ici.

- Bien entendu que tu peux rester, lui répondis-je en lui caressant sa joue et venant l’embrasser à nouveau tendrement.

Je sens alors que là, on va se perdre et que la température entre nous va augmenter rapidement. Je la fais passer alors sur moi, à califourchon, mes mains se posent sur ses cuisses puis ses fesses. Je ne lâche pas ses lèvres. Je descends mes baisers dans son cou tout doucement. J’entends les pulsations de son cœur accéléré tout comme sa respiration se saccadait. Son corps frissonne de plus en plus. Je souris contre sa peau. Mon cœur accélère à mon tour. C’est moi où il fait chaud d’un coup ?

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




On continua de s’embrasser, se caresser. Je me sentais tellement bien à cet instant avec Mari. Nous étions dans notre monde, couper de tout, dans un monde de pur plaisir et désir. C’est dans ma chambre que nous avions fini le reste de la nuit, encore et encore mais ça, vous ne le lirez pas, ceci est privée. Je la voyais me dévorer des yeux, se mordillant les lèvres tout comme moi, je pouvais admirer son corps, ses formes si délicieuses. Chut c’est tout, je vous ai dit.

La nuit avait été magnifique et elle restera à jamais gravé dans ma tête et dans mon cœur. Le matin était vite arrivé et le soleil éclairait déjà bien ma chambre. Je m’étais réveillé avant elle, la regardant dormir paisiblement. Elle était si belle, je souris en lui caressant doucement sa joue et vins lui déposer un baiser sur son épaule dénudé. Doucement, je repousse le drap et sors du lit. Sans faire de bruits, je descends et me dirige vers la cuisine. Je commence alors à préparer un petit déjeuner en chantonnant, prenant la spatule comme un micro. Je fais cuire les œufs brouillés, les pancakes, le jus de fruit puis le café … Oups pas de café. Humm…. Tant pis, je sais ce que je dois aller faire. Je m’éclipse de l’appartement en super vitesse en … caleçon. Oui oui vous avez bien lu, en caleçon. Je passe au CC Jitters et prends deux cafés, laissant la monnaie sur le comptoir et reviens à l’appart. Une fois, le petit dej prêt et sur le plateau, je monte dans la chambre. Surprise, Mari n’est plus dans le lit. Je pose le plateau sur le lit et sort de la chambre. Je vois alors la porte de mon labo ouvert. Humm petite curieuse, pensais-je avant de me diriger vers celui-ci. Sans faire les moindres bruits, je la regarde, scrutant les moindres centimètres, regardant le tableau de l’enquête sur le meurtre de ma mère avant qu’elle ne voie la vidéo de la nuit de la bataille contre Reign.

Je ne me souviens pas combien de fois je l’avais regardé mais ça me rendait toujours triste. Ce jour où j’ai failli la perdre, mais heureusement elle est toujours là. Je l’aime plus que tout. Je souris à cette pensée. La porte se referma derrière moi et elle sursauta. Elle me regarde avant de baisser les yeux comme une petite fille qui venait de faire une bêtise. Elle s’excusa d’être entré sans ma permission. Je m’approchais d’elle, lui prenant la main et de l’autre, je lui relève la tête, l’embrasse avant de la regarder dans les yeux.

- Ce n’est pas grave ma beauté. Tu as le droit de le voir car tu es … ma petite amie. Oui je venais de le dire une nouvelle fois à haute voix et j’aimais ça. Je vois que tu as vu la vidéo de la nuit contre Reign. Je n’aime pas cette vidéo mais je les regardais encore et encore pour analyser chaque mouvement de cette folle et préparer une contre-attaque si un jour, elle se libère et tenterait de revenir. Sinon, si comme moi tu as faim, il y a une surprise dans la chambre.

Elle me sourit puis on se dirigea vers la sortie du labo, je refermai la porte qui se verrouilla de nouveau et on se dirigea vers la chambre. Devant moi, je pouvais admirer une nouvelle fois ses formes sous ma chemise qu’elle avait emprunté dans mon armoire. On se remit alors dans le lit, dégustant le petit déjeuner que j’avais soigneusement préparé. Je vis un sourire sur son visage, elle aimait tout comme moi ces bons moments passés ensemble et ce n’était pas les derniers, ça c’est certain.

Codage par Libella sur Graphiorum