[Central City] A third date in music [Feat.Mari McCabe]

Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.



Quelques jours étaient passés depuis notre deuxième rendez-vous et notre premier baiser. Ce premier baiser, juste à y penser, j’en frissonne encore. Le gout de ses lèvres que je sentais encore en fermant les yeux, la sentir contre moi c’était un aperçu du paradis. La vie avait repris son cours, le lendemain, je l'avais emmené dans notre tour de guet et les missions pour la Justice League également et c’est d’ailleurs maintenant que je rentre d’une mission effectuer avec Green Lantern. Il avait capté que j’étais ailleurs, dans mes pensées et tout de suite, il avait deviné que c’était une femme surtout quand il m’a demandé comment elle s’appelait ?

- Alors Barry, comment s’appelle la jeune femme qui occupe toutes tes pensées ?

- A ton avis, Hal, tu sais très bien à qui je pense, rétorquais-je.

- Hum… Je dirais une certaine brune, métisse qui fait des invocations animales et qui m’a bien rembarré au passage quand on a affronté cette cinglée de Reign ?

- Oui c’est bien elle, dis-je en souriant et encore plus quand Hal a dit qu’elle l’avait rembarré. Hal est mon meilleur ami mais il a tendance à draguer tout ce qui bouge et là avec Mari, il est mal tombé et j’en étais bien content. Il fallait qu’il se fasse remettre en place de temps à autre.

- Barry Allen amoureux ce n’est pas souvent que l’on peut voir ça, dit-il en se dirigeant vers ses quartiers dans la Watchtower.

- C’est sûr que par rapport à toi, pour moi c’est rare, répondis-je sur un ton humouristique.

Je fis de même et entrai dans mes quartiers. La porte se referma derrière moi et appuyant sur l’emblème de mon costume, celui-ci entra dans ma bague. Je retirai mes vêtements et me dirigea vers ma douche. Je fis couler l’eau chaude et me glissa dessous. L’eau coula sur ma peau nue, je fermai les yeux et profiter de ce moment calme tout en pensant à Mari. Dans quelques heures, je serai avec elle pour notre troisième rencard. Et ce soir, c’est à un concert symphonique que je l’emmène. Une petite soirée elle et moi pour mon plus grand bonheur. Tout ce que j’espère c’est que les supers vilains ne feront pas de siennes et resteront calme pour la soirée.



C’est devant sa porte que j’arrive en super vitesse à l’abris de regards, une rose rouge à la main. Prenant une grande inspiration, je sonne à la porte. Avec un peu de chance c’est Mari qui m’ouvrira. La lumière de l’entrée s’allume, le verrou se déclique et la porte s’ouvre. Et devant se tient …. Chuck. Shit….

- Bonsoir, Monsieur McCabe, Mari est-elle là ?  , lui dis-je en lui lançant le plus beau de mes sourires.

Codage par Libella sur Graphiorum

Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Chuck me fit entrer tout en me saluant avec un visage dur avant de le faire devenir plus doux en voyant ma réaction. Il ajouta qu’il allait passer la main avant de rire et tout en me tapant dans l’omoplate. Hum… La discussion qu’ils avaient eu à porter ses fruits. Il y a quelques semaines, il n’aurait pas fait ça, il m’aurait plutôt chassé. Mais là, il était plus doux. M’avait-il accepté finalement ? SI c’est le cas, tant mieux. Je ne veux que le bonheur de sa fille et je compte bien lui apporter. Puis on commence à discuter tranquillement en attendant Mari. Tout se passe bien et j’en suis content honnêtement. Je pense, que dis-je, je suis sûr que c’est un homme bon, juste hyper protecteur, ce que je peux comprendre, je pense que je serais pareil si j’avais une fille. On reparlera de ce sujet dans quelques temps je crois.

C’est alors que Mari descend les escaliers et que dire à part qu’elle est magnifique. Tellement magnifique que j’en perds totalement mes mots et reste bouche bée et émerveillé par la beauté qu’elle dégage dans sa tenue. Je sens mon pouls accéléré. Je cligne des yeux pour voir si je n’hallucine pas et non elle est bien là. Chuck ne parle plus non plus. Un sourire s’affiche sur mon visage tandis que mon regard se perds dans le sien. Je sens le regard de Chuck sur moi puis sur Mari puis de nouveau sur moi. Je pense qu’il a compris les choses qui se passent entre nous. Chuck me murmure alors qu’il me la confie en me tapant une nouvelle fois dans l’omoplate. Je lui réponds alors que je prendrais soin d’elle comme à la prunelle de mes yeux. Il embrasse Mari sur le front et nous laisse.

Je regarde mari s’approcher de moi, je n’ai pas quitté son regard. Je regarde ses lèvres. Je la sens maladroite, hésitante. Elle fait mine de m’inspecter et me demande si je suis entier sur un ton humoristique. Mari est très nerveuse si elle fait des blagues maintenant et ça me fait sourire. J’aime ça.

- Et bien, je pense que oui , dis-je en me touchant partout de la tête au pied avant de rire. Je suis encore entier. En tout cas, tu es resplendissante, Mari. Et … tiens avec ça tu le seras encore plus  , lui dis-je en lui donnant la rose avant de lui donner un baiser sur ses lèvres. Prête à partir ?   lui demandais-je.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Elle avait dû sentir mon stress quand je l’avais embrassé. Au moins, elle n’était pas la seule à stresser. Elle prit la rose que je venais de lui donner, me remerciant, elle l’a mis dans un soliflore. Elle souhaite une bonne soirée à son père, je fis de même en le saluant de la main. Celui-ci me fait un léger sourire et un regard qui me dit « prends soin d’elle sinon tu vas passer un mauvais quart d’heure, mon garçon » J’avais bien compris le message. Mari sortit de la maison et je la suivis. Elle avance sur le perron de la maison avant de se retourner face à moi avec un air interrogateur.

Elle me demande où est ma voiture et comment on va au concert. Je souris et lui réponds.

- En courant bien sûr   , dis-je sur un ton humoristique avant de finalement lui dire qu’on y va grâce au téléporteur.

Lui tendant la main, je l’attire contre moi avant de demander à Gidéon de nous transporter à Central City. Ni une, ni deux, on se retrouve à Central City près du lieu du concert à l’abris des regards. Je nous vois mal débarqué en pleine foule, on se ferait griller nos identités directes enfin pour Mari, elle est à visage découvert mais pas moi.

- Nous y voilà   , dis-je. Prête à écouter de la bonne musique ?  


On se rapproche de l’entrée. Il y a déjà du monde mais cette fois-ci, on attend notre tour. Mauvais souvenir de notre premier rencard où en super vitesse, on était passé devant tout le monde et ça avait mis un froid entre nous. Je ne veux pas refaire les mêmes erreurs.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Durant le cours temps de la téléportation, elle s’était collée à moi, posant sa tête contre mon torse et ses mains dans mon dos. Une fois arrivé, elle s’écarta de moi, se penchant, posant ses mains sur ses genoux afin de reprendre son souffle. Je comprenais très bien que la première fois ça fasse ça mais elle s’y habituera à force de s’en servir enfin je l’espère. Elle se relève et je la vois partir en courant vers un stand de boissons. Je la vois prendre un grand soda qu’elle boit d’un trait. Elle a vraiment mal supporter la téléportation. Je la regarde toujours, un peu inquiet quand même enfin beaucoup inquiet je dirais. Elle revient alors vers moi, me prenant la main pour me rassurer. Je souris à son geste avant qu’elle ne me dépose un baiser tout doux sur la joue.

Je souris encore plus, surtout quand je m’aperçois qu’elle n’a pas lâché ma main et a même entrelacé nos doigts. Je la regarde avec un regard qui en dit long. Je me sens si bien, tellement bien avec elle. C’est marrant ce sentiment que je peux ressentir, ce sentiment de bien-être, de plénitude. Ça faisait tellement longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien, sans le poids du monde sur les épaules. Barry Allen, c’est sûr, tu es amoureux. J’en connais un qui me sortirait ça s’il était présent. Elle me sort de mes pensées quand elle se met à rire. D’ailleurs, j’ai un faible pour son rire aussi qui me fait encore plus sourire. Je ris à mon tour quand elle me taquine. Oui oui, vous avez bien lu. Mari me taquine. Aurais-je une bonne influence sur elle ?

- Monsieur n'a pas envie d'être dans les premiers dans la salle aujourd'hui ?  

- Humm, non non on a le temps, non ?   répondis-je. Et puis prendre son temps de temps à autre ça change.  

Oui, moi Barry Allen, Flash, l’homme le plus rapide du monde a dit ça. C’est comme si Batman avait un sens de l’humour et qu’il devenait joyeux. On avançait un peu et même si c’était long, je faisais un effort. Et puis j’étais tellement bien que je ne voulais pas tout gâcher à cause de mes pouvoirs. Une vingtaine de minutes passèrent et on était proche de l’entrée. Encore quelques mètres. On ne s’était pas lâché la main depuis tout à l’heure. Des personnes qui nous croiserait pour la première fois pourrait croire que nous sommes un jeune couple. Et j’aimais ça, j’aimais tellement être avec elle et sentir sa présence à mes côtés. Nous arrivions enfin à l’entrée où la personne nous demanda nos billets. Nos mains se lâchèrent et on lui donna nos billets.

- Bonsoir, tickets s’il vous plait. Merci. Bonne soirée les amoureux.  

Je souris à ses mots et laissa passer Mari qui entra dans la salle. Je la suivis posant ma main dans là-bas de son dos. On se dirigea vers nos places. On s’installa. La salle était déjà bondée de monde. Que demander de mieux pour passer une bonne soirée. De la bonne musique, une très belle femme qui fait battre mon petit cœur de speedster.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Une fois installé, on attend encore un peu que tout le monde prenne place. Quelques minutes plus tard, les lumières de la salle s’éteignent et le concert commence. De magnifiques reprises de films et de séries s’enchainent de plus belles. Je reconnais les musiques de Game Of Thrones, de Star Wars et bien d’autres encore. Une qui me fait frissonner c’est celle de Gladiator, elle est vraiment magnifique cette musique, rempli d’émotions. Je sentis alors la main de Mari venir sur la mienne, puis nos doigts s’entrelacèrent. Un sourire s’affiche sur le coin de mes lèvres. Nos regards se perdent de temps à autre. Je regarde ses lèvres avec envie. Je fus surpris quand elle vint m’embrasser. Je réponds tendrement à son baiser en posant mon autre main sur sa joue que je caresse doucement. J’étais tellement bien. Ce sentiment que je ressentais était tellement fort. Je sentais des sortes de fourmillement dans mon ventre. Barry tu es amoureux. Tu es amoureux de Mari McCabe.


L’entracte arrive finalement et cette première partie était juste wow. Pas seulement avec les musiques mais aussi ces moments tendres que je passe avec Mari. Nos baisers échangés. J’aime tellement ses lèvres. J’aime tellement être avec elle. C’est hallucinant ce que l’on peut ressentir quand l’amour s’installe dans notre cœur. Les lumières se rallument et je regarde Mari qui se lève et passe devant moi et se dirige vers le café restaurant. Elle revient quelques minutes plus tard avec un soda pour moi et un pour elle. Elle me le tend en souriant et je la remercie en le prenant. Je bois une gorgée. Ça fait du bien de boire un coup, ça rafraichit. Je la regardais, elle est tellement souriante, tellement heureuse. Ça fait tellement plaisir de la voir comme cela. Et pour une fois, on se sent tous les deux comme de simples humains sans les moindres pouvoirs. Je mentirais si je disais que ça ne me faisait pas du bien. C’est alors qu’elle me demande si la première partie m’a plu.

- Oh oui c’était génial. Et puis faut dire, je suis en bonne compagnie, en ta compagnie. Ce qui rends la soirée encore meilleure.

Humm Barry serais-tu entrain de te dévoiler, de dévoiler tes sentiments ? Humm … Je crois que oui. Je vis un sourire s’affichait sur son visage à mes mots. Je continuais de la regarder tout en buvant une nouvelle gorgée. On parla alors des musiques qu’on avait entendu dans cette première partie avant que les lumières s’éteignent de nouveau. La deuxième partie débutait alors. Et ça envoyait du lourd dès le début. Cette fois-ci, c’est ma main qui rejoignit celle de Mari. Je frissonnais à chaque contact avec elle.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




La deuxième partie se passe à merveille tout comme la première et on s’échange des petits baisers. Je ris quand celle-ci me souffle vers mon oreille parce que je suis trop concentré dans le concert. Le concert se termine, les lumières se rallument et les gens commencent à se lever et quitter la salle. On attend un peu qu’il y ait moins de monde puis nous sortons à notre tour… main dans la main. Je sens qu’elle me sert la main, fort d’ailleurs. Je sens comme un malaise en elle, quelque chose qui la tracasse d’un coup. Je m’arrête tout à coup et la regarde dans les yeux, d’un air interrogateur. Je la sens hésitante avant qu’elle ne se lance.


- Ne t'inquiète pas, c'est juste que... je me rends compte... je ne veux pas te perdre... Comme face à Reign, c'était plus fort que moi. Qui m'épuiserait l'ouïe si tu n'étais plus là ? Tu... Tu as débarqué comme ça, un jour, dans ma vie et t'as tout chamboulé après ton passage...

Je ne m’attendais pas à cette déclaration. Cette déclaration qui me fait sourire et chaud au cœur. Moi non plus, je ne veux pas la perdre car je tiens à elle plus que la vie elle-même. Et je ferais tout pour elle. Elle regarde le sol, troublée par ce qu’elle venait de me dire, je pense que ce n’était pas prévu et pourtant elle s’est jetée à l’eau, elle s’est dévoilée, elle a dévoilé ses sentiments. Elle se retourne alors face à moi et relève la tête en me regardant dans les yeux attendant ma réaction. Je la regarde, me perdant dans son regard avant de m’avancer d’un pas vers elle. Je pose une main sur sa joue et je lui prends l’autre main.

- Tu ne me perdras pas Mari… Je ne compte pas partir de ta vie maintenant. Tu es tellement importante pour moi et je tiens à toi plus que tout au monde, plus que la vie elle-même. Je … Je ne vois plus ma vie sans toi. Et personne, personne ne m’enlèvera de ta vie et je compte bien te casser les oreilles encore et encore et encore, dis-je en souriant sans la lâcher du regard. Tu es essentielle à ma vie, Mari McCabe.

C'était à mon tour de me dévoiler. Je viens alors l’embrasser tendrement, la collant contre moi sous la pleine lune qui nous éclaire. J’aime encore plus cette soirée. Cette soirée est de plus en plus belle et je ne veux pas qu’elle se termine. Je lui propose si elle veut d’aller manger quelque chose tranquillement.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Je la voyais regarder mes lèvres avant qu’elles ne viennent se poser sur les siennes. Je la gardais contre moi un moment, sentant son cœur, son pouls accélérait. Quelque chose de fort se passait entre nous et j’aimais ça. La gardant dans mes bras, je lui propose d’aller manger quelque chose. Elle s’écarte de moi.  Elle s’approche de mes lèvres doucement, en me regardant dans les yeux avant de bifurquer au creux de mon oreille et de me dire « c’est toi le chat ». Je fronce un sourcil essayant de comprendre quand je la vois appuyer sur son totem et s’envoler.

Humm… Je venais de comprendre, elle voulait que je l’attrape et s’amuser. J’aimais de plus en plus cette fille. Il y avait vraiment un lien fort qui était né entre nous, un lien que je n’aurais pas imaginé lors de notre première rencontre un peu mouvementée. Un sourire amusé s’affiche sur mon visage et je la suis en courant en super vitesse laissant une trainée d’éclairs orangées derrière moi. Enfin, je la suis c’est vite dit. Pas facile de courir et regarder où elle s’est envolée et la direction qu’elle a vraiment prise. Je continue de courir avant d’arriver dans le parc. Humm… Une bonne cachette si elle décide de venir ici. Réfléchis Barry. Réfléchis. Ça serait de la triche si je demande à Gideon un peu d’aide ? Oui je crois. Je demande alors à Gideon de trouver l’énergie thermique de Mari. Perché dans un arbre pas loin de moi. Bien.

Faisant semblant de chercher, je continuais de marcher normalement en regardant à gauche, à droite. Arrivé à peu près à sa position, je souris et fais tournoyer mes bras, créant deux mini tornades qui me propulsent en hauteur vers elle. Arrivant à sa hauteur, je l’attrape, basculant dans le vide, je nous stoppe en tournoyant un de mes bras avant qu’on atterrisse dans l’herbe. Sur le dos, je la serre contre moi et lui caresse sa joue tendrement.

- Il me semble que je t’ai attrapé non ? Je gagne quoi ? lui demandais-je amusé par ce petit jeu entre nous.

On reste là, allongé dans l’herbe, tel un couple amoureux qui prennent du bon temps. Je me sens si bien, si bien depuis qu’elle est dans ma vie et pour rien au monde, je ne voudrais que ça change.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




J’ai senti une petite panique quand on tombe dans le vide mais heureusement je nous amorti et nous pose délicatement sur le sol. Allongé sur le sol, sur le dos, je ne le lui ai pas lâché la taille, la gardant et serrant contre moi. Je le sens un peu gêné avant qu’elle ne s’écarte délicatement sans pour autant quitter mes bras. Elle pose un bras replié sur mon torse et pose son menton sur sa main. Elle ne me quitte pas du regard et sourit à ma question avant qu’elle ne me dise qu’elle m’a entendu parler à Gideon et que c’était de la triche. Puis elle me fit une pichenette sur le nez avant qu’elle se tourne et se mette sur son dos à son tour. Je souris en regardant les étoiles et me sentant tellement heureux. Tout était vraiment paisible et j’aimais de plus en plus cette soirée. Soirée qui était des plus calmes sans interruption et j’aimais ça, ça me changeait pour une fois. Un jour de repos pour les super héros ?

Quel endroit j’aimais le plus à Central City ? Il y avait bien le Central City Park, de l’autre côté de la ville ou le quartier de Petersburg, le quartier où sont situés de nombreux excellents restaurants.

- Humm… Il y a deux endroits que j’aime le Central City Park qui se trouve de l’autre côté de la ville ou bien encore Petersburg, le quartier où sont situés de nombreux excellents restaurants. Mais ça c’est mon côté « j’aime manger pour reprendre des forces ». Tu aimerais ce parc, c’est là-bas que je vais courir en vitesse normale bien sur et où je passe du temps loin de tout afin de me ressourcer.

Je venais de lui révéler une chose que je n’avais dit à personne, même pas à Evanah ni à Hal. C’était un peu mon jardin secret et je venais de partager cette information avec la femme que j’aime. Oui que j’aime. Je souris une nouvelle fois. Tout en me mettant sur le côté, ma tête appuyer sur mon bras, je lui posais à mon tour une question.

- Et toi, dis-moi à part le Grove, as-tu un autre lieu que tu aimes plus que tout ? Que ce soit à Détroit ou autre part ? Un endroit que tu aurais pu visiter ou alors même un lieu que tu aimerais visiter dans un avenir proche ?  

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Elle aimerait donc retourner où elle est née. Très intéressant. Plus intense que le zoo où elle travaille. Je sais où je pourrais l’emmener lui faire une belle surprise. C’est alors qu’elle me dit que je devais voir la Zambési un jour. Avait-elle lu dans mes pensées. Gardienne de cette région. Elle avait attisé ma curiosité et je voulais maintenant vraiment découvrir ce lieu. Je sentais bien quand elle en parlait que c’était tout pour elle et que c’était très important. J’aimais qu’elle se confie à moi comme cela et tout se faisait naturellement. Notre lien continuait d’évoluer à chaque minute qui passait.

Soudain, elle se redresse et se lève rapidement puis elle se tourne vers moi. Me regardant, elle me proposa d’aller manger où j’aime aller car elle avait une faim de loup et à entendre mon estomac gargouiller, elle n’était pas la seule puis après une petite visite du parc. Elle me tend la main pour que je me relève à mon tour en ne la lâchant pas.

- Avec grand plaisir. Je dois t’avouer que je meurs de faim aussi et mon estomac est entrain de crier famine , dis-je en mettant mon autre main au niveau de mon estomac.

Je n’avais pas lâcher sa main et je l’attirais contre moi, passant mon autre main libre autour de sa taille. Je l’embrassais alors. Qu’est-ce que j’aimais ses lèvres. Je sentais son sourire pendant ce moment de tendresse. Puis on commença à marcher en direction du quartier, par chance, il n’était pas très loin, à quelques rues d’ici. On arriva finalement devant un de mes restos préférés, le meilleur resto italien de Central City et par chance, il s’était mis au goût du jour et faisait des plats végétariens. Une fois devant la porte, je poussais celle-ci et laisser passer Mari. A l’intérieur, Alvaro le patron de l’établissement, qui était un italien pur et dur vint à notre rencontre.

- Oh Signor Allen, yé suis content dé vous voir cé soir. Et yé vois qué vous êtes en très charmante compagnie. Una tavola pour deux yé présume.

- Bonsoir Alvaro, je vous présente Mari … ma … Comment je pouvais la présenter ? Ma petite amie ? Humm oui ça me paraissait le meilleur terme. Ma petite amie. Quelle réaction Mari allait-elle avoir ? Et oui une table pour deux s’il vous plait.

- Bene Signor Allen, vous avé gusti molto buoni. Bene, bene, souivez moi. Yé le  posto migliore per gli amanti.

- Parfait alors, Alvaro. On vous suit , répondis-je tandis que nous le suivons.

On s’installa dans le petit coin tranquille qu’il nous avait donné et c’est vrai que c’était un beau petit coin tranquille et un coin pour amoureux. Je pris le siège de Mari, le tirant vers moi pour qu’elle s’installe. Après qu’elle ait pris place, je pris place face à elle.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Alvaro avait vraiment bien choisi le coin. Il faut dire j’étais passé il y a quelques heures pour qu’il nous prépare tout ça. J’avais tout prévu en partie et heureusement tout s’était bien déroulé. Une fois installé, nous commandons. Mari choisit une Pizza Quattro Stagioni tandis que moi je commence à prendre plusieurs entrées, plusieurs plats principaux et puis plusieurs desserts. Je sens un regard étonné de Mari sur moi. Elle devait se poser beaucoup de questions d’un coup. J’avoue que je mange beaucoup mais étant un speedster, je dois consommer beaucoup pour ne pas être en manque d’énergie une fois en action. C’est comme qui dirait le poing faible des bolides.

J’entends Alvaro dire à Mari qu’il a l’habitude des commandes de signor Allen et que lui aussi se demande où il met tout ça mais que ça lui fait plaisir d’avoir un client qui aime tellement la nourriture qu’il propose. Mari me regarde de nouveau une fois qu’Alvaro nous laisse et elle me demande si je fais en fait mes courses pour la semaine.

- Humm… non non mais juste que comme je consomme beaucoup plus, je mange plus. Le petit point faible d’un bolide, je dois manger énormément pour avoir toujours de l’énergie enfin heureusement que j’ai inventé une barre spéciale quand je suis sur le terrain. Mais j’avoue que j’ai peut-être été un peu fort dans ma commande , ajoutais-je en faisant la grimace.

Alors que nous attendions notre commande, nous continuons de discuter de tout de rien. Une serveuse arrive à notre table quelques temps plus tard avec notre commande. C’est la première fois que je la vois d’ailleurs. Elle nous regarde en souriant et pose maladroitement nos plats enfin surtout mes plats devant moi vu le nombre. Elle me regarde puis regarde Mari avec un large sourire. Etrange cette réaction.

- Tout va bien, Mademoiselle ? demandais-je.

Elle nous répond que oui et qu’elle est désolée d’être un peu maladroite. Elle ajoute aussi qu’elle est contente de nous servir. De plus en plus étrange. Enfin n’importe quelle personne en fait mais il se trouve que c’est notre table et elle est contente. J’ai du mal à la suivre et regarde Mari qui n’a pas l’air non plus de comprendre la réaction de cette jeune femme. Elle continue de nous regarder en souriant, un sourire et un regard comme si elle était émerveillée de nous voir. J’avais comme l’impression qu’elle connaissait mon identité secrète. Hum non je ne pense pas. Tout en la regardant dans les yeux, j’avais comme une impression de la connaitre, de l’avoir déjà vu quelque part.

- On se connait ? , demandais-je alors. J’ai l’impression de vous avoir déjà vu quelque part ?

Elle me répondit que non et qu’elle est nouvelle à Central City. Elle nous souhaita une bonne soirée avant de nous regarder une nouvelle fois et se retournait et s’en allait. Je regarde une nouvelle fois Mari sans trop comprendre ce qui venait de se passer.

- Etrange cette jeune femme, non, tu ne trouves pas ? En tout cas, tu vas voir tu vas te régaler , dis-je en la regardant dans les yeux avant de regarder mes plats.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




J’ai bien senti qu’il y avait quelque chose avec cette fille et de plus Mari avait elle aussi surement du remarqué quelque chose mais celle-ci posa sa main sur la mienne, me faisant comprendre de ne pas chercher. Je lui souris. Puis je lui souhaite un bon appétit et commence à manger. J’avoue que mon attention s’est un peu perdue sur mon gros repas et ça la fait rire. Elle commence à son tour à manger sa pizza et jetant un œil, je vois qu’elle se régale.

Je continuais de manger et je sentais le regard amusé de Mari sur moi. Elle devait vraiment se demander où je mettais tout ça. J’avoue que dès fois je me le demande aussi mais je sais que ça se transforme vite en énergie. C’est pour cela que je suis toujours en mode pile électrique. Un bon moyen pour que je sois calme, ne me donnez pas à manger. En levant la tête, je vis Mari regarder en direction de la serveuse, je me tournais et vis qu’elle n’était plus là. C’était vraiment étrange ce sentiment et cette situation mais je continuais de manger tandis que Mari avait fini et s’était commandé un cappuccino et une glace. J’étais sur la fin de mes plats principaux et j’allais pouvoir être au même niveau qu’elle : le dessert.

On passait vraiment une belle soirée et elle n’était pas finie. Après que j’ai réglé la note, nous sortions du restaurant en remerciant Alvaro pour ce magnifique repas. Il sourit et nous souhaita une bonne fin de soirée et ajouta à Mari qu’il était vraiment content d’avoir fait sa rencontre et qu’il était content de voir que j’avais une petite amie. Il faut dire cela fait quelques années que je connais Alvaro. Darryl qui m’a recueilli à la suite du meurtre de ma mère il y a quelques années, il m’avait fait découvrir ce restaurant et j’avais pu faire la connaissance d’Alvaro. On peut dire qu’il m’a connu ado.

Alors que nous allions sortir, la jeune serveuse mystérieuse nous remercia avec un grand sourire avant de nous souhaiter une très très très très bonne soirée. Je levai un sourcil à sa remarque. Qu’est-ce qu’elle voulait dire ? Cette fille était vraiment un mystère. Je vis Mari rougir et être gênée par ce qu’elle avait dit. Une fois dehors, on marcha tout en parlant. On passait vraiment une bonne soirée et honnêtement, je me sentais tellement bien avec elle que je ne voulais pas que la soirée se termine et surtout je ne voulais pas la quitter. Je voudrais être tout le temps avec elle en fait. Elle regarda l’heure puis annonça qu’elle devait peut-être rentrer, la ville aurait peut-être besoin d’elle. Elle me remercia pour cette soirée, je lui souris. Il fallait que je la retienne, que je trouve quelque chose, je ne voulais pas la laisser partir. Si quelque chose se passe, grâce au téléporteur on n’y serait en un rien de temps.

- Je…  Je n’ai pas envie qu’on se sépare Mari. Je … Tu veux venir à la maison ? Humm peut-être trop direct non ? Je veux dire… Voudrais-tu découvrir mon chez moi ? Je ne te force en rien hein mais je ne veux pas te quitter, je suis si bien avec toi. Barry arrête de parler, tu vas la faire fuir. Je la regardais dans les yeux en lui faisant mon regard innocent.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Elle éclata à mon regard innocent. Je pense que je n’étais pas crédible avec ce regard mais elle accepta ma proposition en bafouillant un peu. Je lui tendis la main qu’elle prit, entrelaçant nos doigts, on prit la direction de mon chez moi. Après avoir marché quelques rues, on arriva finalement devant mon immeuble. On entra dans celui-ci et on prit l’ascenseur, habitant le dernier étage c’est mieux. Une fois en haut, on sortit et on se retrouva devant ma porte. Je sortis mes clés, l’a mis dans la serrure, tourna celle-ci et ouvris la porte.

Je la laissai entré en premier. Je demandai à Gideon d’allumer la lumière. Une fois entré tout les deux, je refermai la porte derrière moi. Je la regardai jeter un œil partout, émerveillé par la grandeur de l’appartement. J’avoue j’avais un bon appartement et le loyer n’était pas trop cher. Il faut dire connaissant le proprio, celui-ci m’avait fait un bon prix sur le loyer. On pouvait voir dans mon appart une cuisine américaine avec un grand plan de travail, un coin salon, un coin salle, plusieurs grandes fenêtres qui la journée donnait beaucoup de lumière.  Je lui montrerai bien ma chambre mais peut-être un peu rapide, non ? Bon pour un speedster ce n’est pas anormal bien au contraire.

- Et voilà mon chez moi. Tu découvres mon espace de vie. J’ai vu le tiens maintenant tu vois le mien , dis-je en souriant. Et en haut, tu as … ma chambre et mon labo , dis-je fièrement. Tu veux boire quelque chose peut-être ? Une bière ? Ou autre chose.

Attendant sa réponse, je me dirigeais vers le frigo et posa deux bières sur le plan de travail. Je le regardai faire son petit tour et regardait les photos accrochées sur le mur. Des photos de moi enfant avec mes parents, puis avec Darryl puis des photos du lycée avec mes amis. Enfin le peu d’amis que j’avais. C’était surtout avec Hal et Evanah. D’ailleurs, en parlant d’Evanah, il faut que je l’appelle. J’ouvris les bières et le prenant, je la rejoins.

- Hum de bons souvenirs  sur ces photos , dis-je alors avant qu’elle ne me regarde.

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Je m’appelle Barry Allen et je suis l’homme le plus rapide du monde. A onze ans, j’ai vu ma mère se faire tuer par une chose inimaginable. Mon père fut accusé du meurtre et emprisonner. Mais un accident fit de moi un être inimaginable. Aux yeux du monde, je ne suis qu’un technicien de la police scientifique mais j’ai un secret, avec l’aide de mes amis de la Justice League, j’utilise ma vitesse pour combattre le crime et sauver le monde. Je m’appelle Flash.




Je souris en la voyant absorber par mes photos. Elle pouvait voir ma vie avant de devenir Flash. Je vis un air un peu plus triste sur les photos avec Hal et Evanah. J’avoue qu’après la mort de ma mère ma vie n’a plus été aussi heureuse. Ma mère assassinée, mon père emprisonné, javais été accueilli par Darryl et même s’il m’a apporté beaucoup d’amour comme si j’étais son propre fils, ce n’était pas pareil. Combien de fois dans ma chambre, les nuits, je pleurais en secret ou quand j’étais seul. J’ai juré de faire libérer mon père et de trouver l’assassin de ma mère. Et j’y arriverai.

Je m’approche de Mari la bière en main et la sors de ses pensées. Je la fis sursauter quand je fus à côté d’elle et que je pris la parole. Elle me regarde avant de regarder de nouveau les photos puis de nouveau, elle se tourne vers moi, prenant la bière et me remercie avec un baiser volé. Je souris. Elle va s’assoir sur le canapé, tapotant sur celui-ci pour que je la rejoigne, je prépare rapidement un petit quelque chose à grignoter pour nous deux en cuisine. Je souris à nouveau quand ma chaine hifi se mit en route avec une musique d’ambiance. Je la rejoignis sur le canapé, prenant place à ses côtés, elle se cale bien et pose ses jambes sur les miennes. Je mordille ma lèvre en regardant ses jambes puis en la regardant. Elle me demande qu’elle est le programme maintenant. J’avais bien une idée en tête mais c'était peut-être trop tôt pour le moment. Et cette idée nécessitera qu’on perdre nos vêtements. Je me rendais compte alors que j’avais envie d’elle. Barry calme tes ardeurs. Elle n’en a peut-être pas envie. Même si la soirée se passait à merveille, il ne fallait pas que je brûle les étapes. C’était vraiment mon gros défaut, toujours aller vite, vite. Il faudrait vraiment que je ralentisse quelquefois.

Je sentais qu’elle avait envie de me poser des questions, qu’elle veut découvrir plus de choses sur Barry Allen. J’avoue que j’avais été discret sur mon passé, ma vie et honnêtement, je ne voulais rien lui caché, je veux qu’elle sache tout sur moi et moi tout sur elle.

- J’ai bien un programme mais …. Il est peut-être un peu tôt , dis-je en souriant bêtement et restant dans le flou. Sinon, que penses-tu d’un petit jeu de questions sur nous. Je veux que tu saches tout sur moi et j’espère que tu ne vas pas t’enfuir en courant…. Ou en volant.

Je n’avais pas remarqué que j’avais posé ma main sur sa jambe et que je la caressais doucement d’un doigt. Je la regarde dans les yeux, sans la quitter du regard et lui souris.

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