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 I want my darkness burns on my skin

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MessageSujet: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyJeu 15 Nov - 16:46







I want my darkness burns on my skin

Feat. Solveig Osmund






Starling City : Manoir des Queens

Une heure du matin, c’est ce que la lumière rouge des leds de mon radio réveil affiché. Je n’arrivais de nouveau plus à dormir, comme si je n’arrivais pas à exorciser mes propres démons. Des souvenirs indélébiles étaient désormais gravés dans mes pensées. Malgré le fait que j’ai tout fait pour lutter contre, j’ai une part sombre en moi et il faut que je l’accepte. Il ne faut pas que j’oublie qui je suis, ce que je suis. Je suis le Green Arrow, le justicier de Starling City et peu importe les polémiques qu’il peut y avoir, je sauverai ma ville. J’avance lentement vers la fenêtre de ma chambre et regarde l’extérieur. Je fais la promesse silencieuse que je ne laisserai plus jamais un enfant mourir dans ma ville. Mon téléphone se mit à vibrer, le numéro de mon responsable de la communication s’afficha. Il sait que je ne suis pas du genre à dormir à cet heure-là. Je soupire et je décroche le téléphone.

- Oui Andrew ? … Los Angeles demain ? … Pour un gala de charité ! Bien, accepte l’invitation, j’y serai ! … Merci Andrew !

Bien un gala, c’était parfait pour me changer les idées. Il suffisait que j’y fasse une apparition, que je signe un chèque, quelques sourire pour la presse. Rien de fort extraordinaire, puis c’était pour la bonne cause, alors autant en profiter. Je me diriges vers mon mini bar tout en envoyant un message à mon pilote pour lui dire que nous partirons à 7h demain … ce matin, vers Los Angeles. Je lui dit aussi de préparer mon costume, bien sûr je ne mentionne pas que j’amènerai mon autre costume au cas où. Ce n’est pas parce que je fais du tourisme que je l’archer vert ne pourra pas faire son apparition. Bien sûr je devrais rester prudent à qu’on ne fasse pas le lien entre moi et le Green Arrow. Je devrais bien réussir à séduire une ou deux femmes là-bas, comme dans mes jeunes années. Bien sûr, elles ne me serviront que de couverture. Le PDG de Queen Industries avec des top modèles, voilà à quoi s’attendent les paparazzis. Bien, je rentrerai dans leur jeu si cela est nécessaire pour protéger ma couverture de justicier. Je remplis un verre de whisky et je commence à tremper les lèvres dans le breuvage. J’hésite un instant, avant de boire mon verre cul sec. Comme si l’alcool était le seul remède à mes maux. Je me trouvais bien pathétique. J’étais toujours consumé par ma colère et je n’arrivais pas à m’en défaire … je ne voulais pas m’en défaire. Je pose mon verre vide et me traine jusqu’à la salle de bain. J’avais besoin d’une douche, comme pour me laver de tout ce que j’avais fait. Je me regarde dans le miroir, à vrai dire, je regarde mes cicatrices, traces de mon passé sur l’île, passé que je n’oublierai jamais. C’était ça qu’il fallait, une trace pour me rappeler ce que je suis et pourquoi je fais ça aujourd’hui. Un tatouage, qui montrera le meilleur et le pire en moi. Bien, je pourrais profiter d’aller à Los Angeles pour voir si je trouve des tatoueurs avec du potentiel. Avec cette nouvelle idée en tête, j’alluma l’eau chaude et me glissa dans la douche. Une longue journée s’annonce.

Dans les airs : Un peu plus de 7 heures plus tard

Je feuillette le dossier du gala de charité que m’a transmis Andrew, afin de voir les personnes à qui je devrais absolument serrer la main. Ce genre de soirée m’ennuis à vrai dire, mais je compte bien profiter de la météo de Los Angeles pour aller jouer les playboys. Après tout, j’ai encore un bon niveau de popularité. Le riche célibataire le plus séduisant, je suis même passé devant Bruce Wayne, c’est pour dire. Pourtant, mon travail de justicier prenait une bonne partie de mon temps. Je commence à parcourir sur mon pc les différents salons de tatouage de Los Angeles. Un nom retient mon attention, le Black Amethyst. Le nom me plaisait bien, je sentais qu’il pouvait faire ressentir la noirceur en moi et puis les dessins étaient plaisants à regarder. Je note l’adresse dans un coin de ma tête et je me change. Mettant une tenue décontractée, débardeur, short, lunettes de soleil et casquette. Je mettrai mon beau costume dans la soirée, là je comptais bien profiter du soleil et de la plage. Puis c’est mieux que de débarquer dans un salon de tatouage en costard.

Los Angeles : 2 heures plus tard, devant le Black Amethyst

J’ai parfois l’impression d’être un acteur célèbre, j’ai pas fait beaucoup de pas dans la ville que je fais des selfies avec les jeunes du coin. Oliver Queen est connu ici, pas en tant que PDG, mais en tant que milliardaire le plus canon. Je souris bien sûr et je fais des phrases de dragues à quelques jolies filles avant de rentrer enfin dans la boutique. Ils sont presque plus épuisants que les lèchent bottes que je côtoie tous les jours au boulot.  La salle à l’air assez vide, en même temps, vu l’heure c’est normal que les personnes ne se fassent pas tatouer. Je ne vois personne et je commence à avancer lentement, tout en regardant mon environnement.

- Bonjour, il y a quelqu’un ?



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Dernière édition par Oliver Queen le Ven 16 Nov - 13:46, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyJeu 15 Nov - 20:17

I want my darkness burns on my skin

Feat Oliver Queen

Cela faisait déjà bien une heure que j'étais éveillée. J'avais déjà bu mon thé, m'étais habillée d'un jean troué et d'une chemise que j'avais noué sous la poitrine, avant d'enfiler mes patins et de rouler jusqu'au Black Amethyst. Comme chaque matin, je suis d'ouverture au salon. 8h30, c'est l'heure où je suis arrivée. Avec une boîte de donuts et un gobelet de chocolat chaud. Je pose le tout sur le bureau et va, toujours en roulant, mettre en route le panneau électrique. Je retourne à l'accueil et croise Eddie, mon collègue d'un mètre quatre-vingt quinze, black, épais telle une armoire à glace. Comme à son habitude, il pose une main sur le haut de mon crâne (pas très dur en même temps) et m’ébouriffe les cheveux avec un sourire et un air paternel.

- Salut Loly Ice ! Ouh t'as encore mal dormi toi...

- Mais non ! je fais toujours des nuits de dix heures tu sais bien ! lui répondis-je en feignant la mauvaise humeur.

On finit pas rire et se chamailler, comme d'habitude depuis que je suis arrivée au salon. Heureusement que j'ai quand même quelqu'un avec moi le matin sinon je serai toujours dans ma bulle et je louperai des potentiels clients. Comme celui qui est passé sur les coups de neuf heures et que j'ai failli loupé tellement j'étais concentrée sur un de mes dessins, sans parler qu'Eddie s'était absenté pour fumer une cigarette.

- Bonjour, il y a quelqu’un ?

Pauvre homme. J'étais tellement sur mon dessin que je ne le calculais même pas alors qu'il patientait juste devant l'accueil. J'ai alors reçu une pichenette sur le front, éclatant ma bulle par la même occasion.

- Dis-donc ! Le monsieur cherche à te parler ! Un tatouage c'est ça ? Les masochistes arrivent de plus en plus tôt...ajoutait Eddie pour lui-même.

Je me redresse brutalement et me dirige avec mes patins jusqu'au nouvel arrivant. Souriante puis me frottant l'arrière de la tête, gênée.

- Salut ! Désolée de ne pas avoir répondu tout de suite, j'étais sur un de mes dessins et... je n'entendais plus rien... Ca aide pas mal mais il y a quand même des inconvénients...

Mais pourquoi je raconte tout ça ? Je le regarde. Un tic chez moi, si l'on peut dire. J'observe énormément le monde qui m'entoure et détaille chaque personne autour de moi. Encore plus lorsque c'est mon interlocuteur.

- Hum... qu'est-ce que vous voulez de si bon matin ?

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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyVen 16 Nov - 15:01







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Feat. Solveig Osmund






Los Angeles : Black Amethyst

Heureusement que je ne suis plus le gamin impatient que j’étais autrefois. J’ai pris en maturité et je sais que les personnes ne sont pas à ma disposition. Puis je sais que je ne suis pas pressé. Le gala de charité ce fera tard dans la soirée. Je devrais avoir fini d’être tatoué d’ici là, enfin j’espère. Une jeune femme finie par arriver en roller jusqu’à moi. La tatoueuse sûrement. Je regardai un moment sa peau consteller de tatouage et j’avais le sentiment d’avoir trouvé exactement la personne qu’il me fallait pour le tatouage que je souhaitais. Certains de ses symboles me rappeler étrangement Lian Yu, sans que je n’arrive vraiment à savoir pourquoi. Peut-être un côté ancien que je retrouvais là-dedans. Enfin sûrement une coïncidence de mon esprit. J’ai besoin de repartir sur une base saine et de retrouver mes origines. Il faut que je me souvienne de pourquoi je suis devenu Green Arrow au départ. Je voulais me rappeler de ma noirceur intérieure qui fait aussi ma force et le tatouage est le meilleur moyen de me le rappeler. J’enlève ma casquette et mes lunettes de soleil que je pose sur le meuble à côté de moi. Je souris gentiment à la jeune femme, pas un sourire de séducteur, non plutôt un sourire compréhensif.  

- Ne vous excusez pas ! Je sais que je suis là assez tôt. C’est que j’aurai sûrement quitté L.A ce soir où demain matin, alors je n’ai pas beaucoup de temps pour me faire marquer la peau ici.

J’avance de quelques pas au milieux du salon de tatouage. Je surveille aux alentours mes alentours. Réflexes que j’ai, pour connaitre les issues de secours, les dangers potentiels. Après cinq ans sur une île on a de quoi devenir parano. Je ne pensais pas que j’étais réellement en danger ici, à moins que je me fasse attaquer par une horde de paparazzi.

- J’ai découvert votre atelier … boutique … salon sur internet et j’avoue avoir flashé sur vos réalisations. Je cherche quelques choses d’unique qui pourraient me rappeler ma noirceur intérieure. Après tout, je pense que tout le monde à sa part d’ombre et qu’il ne faut pas la renier au risque qu’elle vous dévore. Vous avez peut être des idées ?



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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyLun 10 Déc - 17:40

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Feat Oliver Queen

- Un tatouage dans la journée ?

Il n'était pas rare que mes clients me demandent des tatouages en one shot. Toutefois je devais réfléchir au style. Pour un rappel de notre ombre, notre "jumeau maléfique" comme j'aime à dire, il falait que je trouve un dessin sans trop de minimalisme. Les idées fusaient à toute vitesse. Je fouille donc le comptoir de l'accueil et y sort une feuille blanche que je pose à plat. Je prends un crayon noir et commence à faire l'esquisse de mes pensées.

- Alors pour un rappel de ton ombre, je vois le trou d'une serrure dans lequel chacun tente désespérément de l'enfermer à l'intérieur de soi jusqu'à ce qu'elle trouve un moyen de l'ouvrir et de prendre possession de notre corps. dis-je tout en dessinant. Hum on peut aussi ajouter une phrase comme en avertissement. J'ai celle de Stephen King en tête.

Je sors ma tablette du comptoir et lui montre la phrase en question : "Monsters are real. They live inside us and sometimes they win". Je reprends mon dessin. Je fais plusieurs serrures. Une avec des doigts de chaque côté comme essayant de la briser de l'intérieur pour sortir. Les ongles étant travaillé comme des griffes de démon. Une autre avec un décor intérieur aux arbres morts et une silhouette encapuchonnée avançant vers la serrure. Puis une dernière où dans un fond noir on ne voit que des yeux brillant et un sourire carnassier d'un démon qui attend son heure. Je pose la phrase avec une écriture comme gravée dans la peau, sur un côté, de chaque côté ou en dessous. J'ai sans doute mis une demie-heure à dessiner, mais j'étais satisfaite de proposé du choix.

- Voilà ! tu n'as plus qu'à me dire ce qu'il te plait. Sinon on peu aussi partir sur des manchons ou mollets avec des volutes noires pour exprimer une possession progressive de ton côté sombre.

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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyMer 19 Déc - 13:27







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Feat. Solveig Osmund






Los Angeles : Black Amethyst

L’ambiance de cet endroit était étrange, mais pour autant pas désagréable. A vrai dire, c’était même appréciable. Il y avait une certaine familiarité. La tatoueuse ne me trait pas comme le riche héritier de la famille Queen, mais simplement pour un client normal. C’était un peu apaisant, surtout que je me doutais que l’ambiance ce soir ne serait pas du tout pareil. Je savais que j’allais devoir serrer des mains toute la soirée et oublier un peu la capuche. Au moins, je pouvais me détendre pour le moment, ne pas me prendre la tête sur ce que les gens attendent de moi. En fait, pour la première fois j’allais simplement pouvoir être Oliver. C’était assez surprenant qu’elle ne me connaisse pas, mais bon, j’allais pas lui en vouloir.

- Oui ce serait du one shot, je sais que c’est court pour montrer tout l’étendu de vos talents, mais je suis sûr que vous arriverez à faire quelques choses de bien.

C’était étrange de vouvoyez une personne qui nous tutoyer, mais bon, j’ai toujours appris à faire preuve de respect . Ce n’était pas pour autant que je me mettais à prendre les personnes de haut. Puis, je comprenais qu’elle me tutoyer, après tout, c’était moi qui était dans son univers, par l’inverse. Elle commença à donner des explications sur ce qu’elle voyait pour mon tatouage, tout en dessinant. Elle avait de l’inspiration, c’était quelques choses qui me plaisait. Quelqu’un qui a des idées malgré la pression qu’elle pouvait avoir à se dire que c’était pour la journée en one shoot. A vrai dire, elle avait déjà plusieurs idées. Je souris en regardant les œuvres qu’elle venait de dessiner. L’un d’entre eux attira particulièrement mon attention. Celui avec l’homme à la capuche, il me rappelait étrangement qui j’étais en tant que The Hood.

- J’aime beaucoup vos œuvres, je devrais venir à Los Angeles plus souvent. EN tout cas, vous avez beaucoup de talent. Je pense que le deuxième tatouage correspondra plus aux ténèbres qui sont présent en moi. Bon, je suppose que vous voulez voir votre surface de travail.

Je lui souris et je retire mon haut afin de lui montrer mon corps et surtout mon torse. Je pense que c’était le meilleur moyen pour moi de voir le tatouage. Bien que j’hésite avec mon dos. Les deux étant couvert de cicatrice, ça ne sera peut-être pas simple pour définir l’espace de travail.

- Vous pensez que je devrais faire le torse sur mon dos ou sur mon torse ? Je n’arrvie pas à me rendre compte l’endroit où ça rendrait le mieux.



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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyJeu 27 Déc - 15:01

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Feat Oliver Queen

A ses compliments, je souris. Il était toujours bon d'entendre que mes dessins et mes idées plaisaient. J'arrête toutefois de sourir lorsqu'il se désape devant moi avant que je l'invite dans mon box pour le tatouer. Euh oui, d'accord. Je regardais son torse avec attention, puis son dos lorsqu'il me le montre.

- Je ne vais pas vous cacher que les cicatrices sont difficiles à couvrir. Les traits s'y déforment vite... dis-je tout en réfléchissant. Toutefois ! Je prends le dessin voulu et le pose sur le plexus de mon client dont j'ignorais d'ailleurs son nom. On pourrait tatouer ici, c'est un peu le symbole de la serrure de notre intérieur après tout. Le dos serait une mauvaise idée pour sa signification, puis j'évite le plus gros des cicatrices. Ca vous va comme ça ? Si oui vous pouvez vous installer sur le siège dans mon box, juste là.

Je lui pointe du doigt la zone où je tatoue, derrière moi, à droite. Je le suis en roulant, tablette et dessins sous le bras. Je scanne mon dessin, modifie quelques petits détails à la tablette comme, le texte, la taille générale... J'imrime puis calque le tout avant de le poser là où mon client l'avait souhaité.

- Il serait mieux de s'asseoir. Ça va piquer. dis-je en riant tout en mettant mes gants puis préparant mes encres et mes aiguilles que je sortis de leur emballage individuel stérilisé.

Je mets en place la première aiguille, celle pour les traits. Je teste la machine, appuyant alors du pied sur la pédale afin de voir le temps de réponse. tout était bon. Je prends une télécommande sur laquelle j'appuie et ma playlist pagan commence. Mélange de metal et symphonic, ça mettait toujours dans l'ambiance. Ce n'était pas fort au point de nous empêcher de parler non plus. Je le laisse s'installer avant de mettre en route la machine.

- Et c'est parti ! J'espère que vous n'êtes pas douillet , ajoutai-je en riant avant de faire un premier trait. Il me faudra ton prénom aussi monsieur l'inconnu. C'est toujours utile si je t'invite pour le déjeuner. lâchai-je finalement après quelques traits

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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyMar 8 Jan - 9:18







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Feat. Solveig Osmund






Los Angeles : Black Amethyst

Pour la première fois depuis longtemps, j’avais l’impression de retrouver une vie normale. Loin des soucis du Green Arrow, à vrai dire, j’avais l’impression de ne plus être réellement Oliver Queen. C’est comme si en passant cette porte, j’avais laissé ma vie derrière moi et que j’étais rentré dans une bulle hors du temps. Bien sûr, je savais que ce n’était pas vraiment le cas et que j’étais toujours moi, mais c’était agréable d’être un client lambda. Un touriste venu à Los Angeles, malgré le gala que j’avais ce soir, c’est tout ce que j’étais, un touriste à Los Angeles. Je laissais la tatoueuse poser le dessin sur mon plexus, histoire d’avoir une idée du résultat. Elle avait réussi à trouver une zone libre malgré mes cicatrices. Je savais que ce n’était pas chose aisée. Après tout, Lian Yu a laissé ses marques sur moi. C’est sur cette île que j’ai abandonné l’ancien Oliver Queen et que je suis devenu The Hood. Cette île qui a été pour moi un commencement. Peut-être devrais-je y retourner ? Je ne sais pas encore, tout dépendra des prochains jours je suppose. En tout cas, l’endroit choisi pour le tatouage est parfait. Je souris donc à la jeune demoiselle.

- C’est parfait comme endroit ! Tant que mes cicatrices ne vous gênent pas ça me va.

Je me dirige donc vers son box et je m’installe sur le siège qu’elle m’a présenté. Je regarde un peu la boutique, m’imprégnant de l’univers qui m’entourait. La tatoueuse allume alors sa musique, assez agréable à vrai dire et je sens l’aiguille s’appliquait sur ma peau. C’est une sensation assez douce comparait à tout ce que j’ai pu ressentir avant. Je sens l’encre commencer à prendre persistance en moi, comme si on s’unifiait pour ne faire qu’un. Comme si l’encre représentait directement mes ténèbres. Je souris, c’est vrai que je ne m’étais pas présenté … à vrai dire, j’avais perdu l’habitude de le faire car tout le monde me connait. Enfin, pas tout le monde apparemment.

- Je m’appelle Oliver … et c’est plutôt moi qui ai tendance à inviter à déjeuner. Surtout que si vous devez mettre l’argent du tatouage pour nourrir votre client, c’est contreproductif !

Après tout, Oliver Queen n’a jamais laissé une fille l’inviter au restaurant, ce serait ternir son image de playboy millionnaire.



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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyJeu 28 Fév - 12:01

I want my darkness burns on my skin

Feat Oliver Queen

Niveau douillet, on repassera donc. J'en avais eu des clients qui ne ressentaient pas l'aiguille, certains étaient même bercés par le bruit de ma machine et s'endormait sur le siège. Bon ce n'est pas vraiment cool pour moi quand cela arrive, je n'ai plus personne à qui parler. Heureusement que j'ai ma musique pour m'occuper la tête dans ce genre de cas.

Il s'appelle donc Oliver et je hausse des épaules lorsqu'il me parle de contre-productivité. J'invite souvent mes clients pour un lunch ou un café. Je ne vais pas changer mes habitudes. Eddie allume l'écran plat à l'accueil mais ma musique couvre le bruit que pourrait faire la télévision. Tant mieux, les médias et leur façon de manipuler la population m'exaspère au plus haut point, je n'y prête donc pas attention, continuant le tatouage.

Je faisais les traits avec minutie, la serrure d'abord, puis le contour de la silhouette avec son arc, les arbres décharnés puis l'arrière plan ressemblant à une île ou une montagne au loin. Il m'avait demandé un côté sombre, et c'est donc avec ce sentiment que je le tatoue. J'avais encore des moments d'absence où je me rends compte par la suite que ma main à été guidée pour inscrire des symboles sur l'ombre tentant de sortir de cette serrure. Leur signification ? aucune idée. Je ne m'en préoccupais pas auparavant, mais depuis que je suis à L.A., mes absences sont de plus en plus fréquentes, je devrais peut-être aller consulter...

Les traits se terminent, le remplissage reste donc à faire et il est déjà 13h. J'éteins ma machine, puis je me lève et coupe la musique avant de me retourner vers mon client.

- Et bien le temps passe vite. On s'arrête là et on reprendra après le lunch. Pizza ou sandwich ?

Je lui souris tandis que le son de la télévision parvient enfin à mes oreilles pendant que je couvre le tatouage puis lui demande de se rhabiller le temps de notre sortie. Le maire de Star City serait en visite à Los Angeles et participerait à un gala de charité. On parle alors du fait qu'il est encore célibataire, je lève alors les yeux au ciel puis ricane tandis que je mets mon perfecto.

- Ces médias devraient arrêter de ramener tout ce qu'ils peuvent de la vie privée des personnes qui ont de la notoriété publique. Chacun est un être humain avant tout, avec les mêmes besoins primaires...

Je soupire et coupe la télévision tandis que la journaliste allait donner le nom du dit maire. Eddie qui mangeait des chips, s'arrête d'un coup s'offusquant de mon geste, puis dévisage Oliver avant de rire.

- On va manger, étouffe toi avec tes chips sale type !

Je lui tire la langue avant de sortir puis d'amener Oliver jusqu'à un foodtruck proche du salon.

- Pardonne mon collègue, il perds souvent une case. Les traits ne te piquent pas trop ?
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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin EmptyVen 8 Mar - 12:40

I want my darkness

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Oliver Queen

Solveig Osmund

Los Angeles : Une aiguille sur ma peau

Je m'installe donc sur le fauteil prêt à me faire tatouer. A vrai dire, je n'ai pas peur de la douleur que l'aiguille pourrait me procurer. J'ai déjà vêcu bien pire et ça a marqué tout autant ma peau de manière permanente. De manière assez surprenante, je me rappelle de chaque cicatrice, de chaque douleur que la blessure m'a causé. Je me rappel de toute les tortures que j'ai subis pendant ce temps en enfer. Durant cinq ans, on a torturé Oliver Queen, ça l'a tué en quelques sortes et c'est ainsi qu'est née le Green Arrow. Enfin, j'ai d'abord été The Hood et j'ai évolué grâce à John et Roy. Bien que je trouvais la capuche de plus en plus dur à porter, la Justice League m'a redonné foi en ce que je faisais. Néanmoins, je ne devais pas oublier ce que j'étais au fond de moi, je ne devais pas oublier le monstre qui rode sous ma peau. Je regarde la tatoueuse en action, aucun doute, elle est douée. Je reste détendu pendant qu'elle travaille. Après tout, je suis sûr que plus une personne est tendue et plus la qualité du tatouage est moindre. Je ne vois pas vraiment le temps passé, j'observe ses mouvements précis, ça m'apaise d'entendre le bruit de la machine. Ce n'est pas pour autant que je ne reste pas sur mes gardes. J'ai rapidement appris à ne pas baisser ma garde. Qu'on soit en terrain connu ou non. Elle finit par s'arrêter et me dit qu'on reprendra après manger. Je lui souris et je me redresse donc.

- Je préfère pizza, les sandwichs ce n'est pas trop mon truc.

La musique désormais éteinte, j'entends désormais la télé. Apparement ça parle déjà de moi, le président Queen Consolidated qui se déplace à L.A, ça fait du bruit. Au moins, ils n'ont pas d'information sur ma localisation actuelle. Heureusement, sinon le black amethyste aurait été sous les flashes des photographes. Bien que ça aurait pu être une excellente pub, je doute qu'avoir des paparazis devant sa porte en attendant la sortie du célèbre Oliver Queen ça deviendrait vite pénible. La tatoueuse arrête la télé avant que cette dernière dise mon nom. Bien que son collègue semble m'avoir reconnu, ce n'est pas le cas de la tatoueuse. Tant mieux, je ne voulais pas un traitement de faveur à cause de ma célébrité. Je sors donc dans la rue après avoir mis ma casquette et mes lunettes de soleil.

- Ce n'est pas grave, il à l'air gentil ton collègue, faut pas l'insulter comme ça. Les traits ne me tire pas, comme tu as pu le voir, j'ai subi pire dans ma vie, alors quelques traits d'encre ne devrait pas m'affecter. En tout cas, vous avez un véritable talent, je le reconnais. Je suis content d'être venu vous voir pour mon tatouage.

Nous approchons donc du foodtruck, mais quelques choses me perturbe. On est suivi, ça ne fait aucun doute là dessus. Paparazi, fan, ou réel menace, je ne saurais pas le dire. Je décide de faire semblant de ne pas l'avoir vu, j'agirais que si c'est nécessaire. Après tout, je n'ai pas tellement envie de porter l'attention sur moi. Je vois que certaines personnes semble me reconnaitre dans la rue, j'espère pouvoir être tranquille encore un moment. Je continu de marcher, tout en surveillant les reflets des vitres et les rétroviseurs.

- Sinon, qu'est ce qui vous a poussé à devenir tatoueuse ? Racontez moi votre histoire.
ⒸJessnounou
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MessageSujet: Re: I want my darkness burns on my skin   I want my darkness burns on my skin Empty

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