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 [HOT] Petit date version criminelles [PV : Harleen F. Quinzel]

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AuteurMessage
Pamela L. Isley
Pamela L. Isley
› TEXTOS ENVOYÉS : 27 › DATE D'INSCRIPTION : 01/10/2019 › PUFF : Keough › CÉLÉBRITÉ : Evan Rachel Wood › CRÉDITS : Keough
[HOT] Petit date version criminelles [PV : Harleen F. Quinzel] Po0h
› NOM DE CODE : Poison Ivy › ÂGE DU PERSONNAGE : 37 ans › HUMEUR DU MOMENT : Déterminée › VILLE D'ORIGINE : Seattle › SITUATION PROFESSIONELLE : Écoterroriste
[HOT] Petit date version criminelles [PV : Harleen F. Quinzel] Tumblr_ojxkdbJH4f1rp74xfo2_500
› CAPACITÉS, POUVOIRS, ÉQUIPEMENT : Chlorokinésie, chémokinésie
Biochimiste et botaniste talentueuse
Séductrice assermentée

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MessageSujet: [HOT] Petit date version criminelles [PV : Harleen F. Quinzel]   [HOT] Petit date version criminelles [PV : Harleen F. Quinzel] EmptyLun 4 Nov - 17:53

Petit date version criminelles



Le système de sécurité ultra-sophistiqué du domicile s'inactiva en silence, sous l'action d'étranges champignons minuscules. Les micro-organismes acides neutralisèrent les alarmes et les caméras avec une justesse chirurgicale, agissant précisément sur les composants qui devaient être dégradés pour couper discrètement toute transmission de signal. Cette précaution prise, Ivy ordonna mentalement à la large plante qui les portaient, Harley et elle, de s'élever dans la nuit pour les amener au niveau d'une fenêtre. De ce côté de la façade du domicile du sénateur, les ténèbres jouaient en leur faveur. Je m'occupe des gamin ; tu te charges de leur maman ? Proposa d'une voix feutrée l'Empoisonneuse, lovée toute contre sa partenaire à la fois par manque de place sur sa plate-forme végétale, et également pour profiter de la chaleur agréable que diffusait le corps galbé de la blonde. Délicatement, la fenêtre fut ouverte par des mains graciles, et deux intruse se glissèrent sans bruit au sein du domicile personnel de Joseph Devol, un politicien républicain occupant un poste unique dans l'administration américaine : il supervisait (secrètement) le programme suicide squad, depuis le fiasco de Midway city. La séduisante botaniste referma le battant avant de promener un regard dédaigneux sur l'intérieur cossu de l'édifice ; des photos de Devol (un afro-américain dont la courte chevelure noire grisonnait) ne manquaient pas, sur les murs. Épouse et enfants figuraient également encadrés un peu partout, souriant à belles dents, heureux de vivre leur petite vie parfaite. Un cliché de famille américaine des beaux quartiers habitant une maison agencée par un décorateur d'intérieur. Pamela n'aurait pas été surprise de voir débarquer un gentil labrador, pour compléter le tableau, mais ne distingua pas de présence animal. La cuisine, au rez-de-chaussée, bruissait d'une intense activité, signe que madame était aux fourneaux. À l'étage, là où était arrivé le tandem, deux portes ornés d'un prénom (Andrew et Rosalyne) indiquaient les chambres des enfants (plutôt jeunes, d'après les photos). La rousse nota les couleurs des portes (bleu pour le garçon, rose pour la fille) et fronça légèrement les sourcils en notant la présence de fleurs en plastique à l'étage. Chacune ayant sa tâche à accomplir, Ivy laissa sa complice filer vers l'escalier. Les deux demoiselles n'étaient pas venues les mains vides, bien au contraire ; la biochimiste avait veillé à ce qu'elles emportent de quoi  faire face à toutes sorte d'imprévues. En premier lieu, elle décrocha une jolie pivoine rose qui ornait son poignet tout en marchant lentement vers la chambre de la fillette, et signala mentalement à la fleur qu'elle allait bientôt avoir son rôle à jouer. De sa main libre, l'intruse actionna doucement la poignée de la porte, son œil vert dépassant de l’entrebâillement. Rosalyne, accroupie au sol, jouait avec ses peluches en se parlant à voix basse. Un sourire apparut sur les lèvres de la criminelle, qui reconnut là une proie facile. Sa bottine en daim vert pâle se posa sur la moquette de la chambre, amenant une jambe nue près de l'enfant, qui se retourna sans crainte au moment où l'adulte s'agenouillait pour lui mettre la pivoine à hauteur de visage. Le végétal étendit ses pétales délicats pour emprisonner le nez et la bouche de la métisse, qui ouvrit grand les yeux de surprise en découvrant cette drôle d'inconnue chez elle. Immédiatement après, ses paupières s'alourdirent, et elle sombra dans un demi-sommeil qui durerait tant que la fleur resterait accrochée sur son visage. Et de une. Triompha un peu trop rapidement l'écoterroriste, en distinguant un cri de frayeur étouffée dans son propre dos. Par réflexe, la sulfureuse séductrice opéra un demi-tour de son buste, toujours agenouillée sur la moquette, prête à sévir. Le frère de Rosalyn la dévisageait du haut de ses huit ans, pétrifié, une console de jeux entre ses doigts malhabiles. Consciente que le moindre geste menaçant risquait de faire crier ou fuir le garçon, la botaniste approcha avec une lenteur infinie son index de ses lèvres, comme si elle intimait à Andrew de ne pas faire de bruit pour laisser dormir sa sœur. Sans doute désorienté par la sérénité de cette réaction, le fils du sénateur parut hésiter. Pendant ce battement, Pamela mobilisa ses capacités surnaturels pour générer, sous forme de baume, un tranquillisant à la surface de son épiderme, enduisant sans en avoir l'air ses doigts de narcotique. Au bout de quelques secondes, le garçon se tourna vers la sortie de la chambre, le regard ancré vers un escalier qu'il comptait emprunter pour aller trouver sa mère. Heureusement pour l'Empoisonneuse, cette décision tarda à se concrétiser, lui permettant de cajoler le bambin avec sa main vénéneuse. Tu ne me reconnais pas, mon grand ? Fit semblant de s'étonner la rousse, dans l'unique but de troubler un peu plus sa victime, afin que sa toxine ait le temps d'agir. Andrew frissonna en sentant ce contact non-désiré sur sa joue, et recula pour se mettre hors de portée. La métahumaine l'observa avec une moue moqueuse, car elle devinait ce qui ne tarderait plus à survenir. Comme attendu, le narcotique se diffusa dans l'organisme du garçonnet, qui dodelina de la tête avant de s'asseoir puis s'allonger de tout son long sur le pallier. Si tu m'avais reconnue, tu te serais sans doute davantage méfié. Déclara d'un voix mielleuse l'intruse victorieuse, en ajustant la position du garçon à terre. Ensuite, elle déroula une longue liane de lierre qui ornait sa cuisse, et installa le lien végétal autour du cou délicat du fils de politicien. De minuscules ronces s'insérèrent sous la peau du nouveau porteur, le perfusant avec une toxine qui le tiendrait sage pour longtemps. Fière de son œuvre, la reine des plantes se redressa gracieusement sur ses jambes, ajusta sa chevelure pour qu'elle auréole et souligne son buste, puis descendit rejoindre sa complice sans se presser, atteignant un rez-de-chaussée nettement plus calme. En chemin, elle lança une poignée de graines dans le plafond du hall d'entrée, qui adhérèrent à la surface en s'entrelaçant pour développer un bulbe jaunâtre de la taille d'un poing et dont l'aspect évoquait celui d'un petit cactus suspendu la tête en bas au-dessus de la porte d'entrée principale de la maison.. Enfin seules ! SSe réjouit la biochimiste de son timbre sensuel, après avoir constaté qu'Harley s'était acquittée de la compagne de Devol.

Parfaitement consciente d'être observée, le docteur Isley déambula quelques minutes dans le vaste salon avec une démarche qui conférait à ses hanches des ondulations captivantes, fredonnant entre ses dents une mélodie simple comme si aucune autre femme ne se trouvait dans les parages. De temps à autre, elle se courbait en prétendant examiner la couverture d'un livre, ou le détail d'un bibelot, étrangement toujours là où la lumière mettait son corps en valeur. Assez peu discrètement, la rousse cherchait alors à prendre en flagrant délit deux grands yeux bleu  qui se seraient perdus sur ses formes gainées de vert, puis reprenait son lent déplacement tout en oscillations.
Devol ne sera pas là avant un bon moment... Je me demande ce qu'on pourrait faire pour s'occuper, avant qu'il n'arrive. Fit innocement la charmeuse, en approchant à la dérobée de sa partenaire qui lui faisait de l’œil. La seconde suivante, Ivy avait amené ses bottines derrière l'arlequin, et ses mains entrèrent en action avec possessivité : la gauche serpenta entre le bras et le torse de la demoiselle pour s'insinuer sous son haut et remonter lascivement vers ses seins en savourant chaque millimètre de peau rencontrée ; l'autre, pudique et mesurée, effleura du bout des doigts l'entrejambe de l'acrobate en partant du genoux pour gentiment s'élever vers la zone la plus sensible à ce genre de petites attentions et s'y attarder. La main droite de l'Empoisonneuse redescendait ensuite sur l'autre flanc de l'entrecuisses, dessinant peu à peu un V inversé lors de ses va-et-vients. Paupières closes, l''écologiste de charme s'immergea dans l'instant présent en ronronnant de plaisir, espérant arracher quelques gémissements ou soupirs de reconnaissance en retour de ces caresses. La poitrine couverte de motifs sylvestres de la tueuse aux baisers s'accola au dos de son alliée pour permettre à ses lèvres de se déposer sur tout le pourtour de son col ; depuis le lobe de l'oreille droite jusqu'au creux de la clavicule attenante, une pluie de tendresse au bruit humide s’abattit sur l'épiderme d'albâtre de l'ex-membre de l'escadron suicide, y laissant une collection d'empreintes de lèvres féminines.
Au terme d'un moment passionné où les deux femmes fusionnèrent presque dans leur enlacement, la sulfureuse rousse s'écarta, mutine, jusqu'à tomber en arrière et atterrir " malencontreusement " sur le dos, enfoncée avec volupté dans le plus moelleux canapé de la pièce. Dans une posture des plus valorisantes, elle invita d'un geste gracieux son interlocutrice à la rejoindre, ses doigts vernis remuant avec autorité en direction de sa dulcinée :
Viens voir un peu par ici, Harl' ; il y a encore quelques endroits de ton corps que je voudrais décorer. Plaisanta-t-elle d'une voix qui aurait fait fondre même le glacial mister Freeze, en mimant un tendre baiser à son amante. Ivy éteignit ensuite la lumière en actionnant un interrupteur centralisé à l'aide de son pied ; il fallait bien que leur présence soit une surprise pour le sénateur, après tout.


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